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jeudi, 07 septembre 2017

Il y a des jours où « j’île de Ré »…

De rien Mab

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Hier, comme prévu, nous sommes allés déjeuner de ces « moules marinières » et de cette « friture de petits poissons » dont je vous ai déjà parlé.
On se heurte toujours aux mêmes obstacles.
Les moules ? Aucun problème.
La friture ? Pas plus de problème.
Hélas…
Avec la friture ? Un demi de bière d’abbaye, ça va super bien avec.
Après les moules ? Une « crème brûlée » ça clôt merveilleusement le déjeuner.
Il était évident que ça finirait par se voir.
Après ce déjeuner, nous avons flâné, descendant de notre pas de promeneur peu pressé le boulevard des Batignolles avec l’idée d’aller boire un café.
Quand nous sommes passés devant la géhenne où Imaginer exerce ses talents, j’ai envoyé un SMS.
« Nous sommes en bas. Un café ? »  
« Je descends vous dire bonjour mais pas de café. »
Je me demande encore à quoi ça a bien pu servir de ne pas prendre ce café.
Que je vous dise, lectrices chéries.
Quand on boit un café avec Imaginer, on papote une heure au café à se raconter des histoires qui ne regardent que nous en sirotant nos consommations.
On est assis, peinard,  et le temps passe agréablement jusqu’à ce qu’Imaginer dise « Bon, c’est pas tout, il faut que j’aille travailler ! »
Hier, Imaginer est descendue et nous a dit bonjour.
Puis, comme d’habitude on a papoté une heure à se raconter des histoires qui ne regardent que nous.
Mais debout sur le trottoir et sans café.
À part le fait que nous avons eu droit à quelques gouttes de pluie,  c’est bien la seule différence avec ce que nous faisons d’habitude…
Après ça, nous sommes passé rue de Lévis boire ce café qui nous manquait tout de même et nous sommes revenus à la maison.
Sur le chemin, Heure-Bleue et moi avons succombé au péché d’Envie.
Nous avons croisé rue de Rome, un groupe de jeunes gens et jeunes filles sortant du lycée Chaptal.
Ils avaient trouvé un moyen d’avancer qui allait bien avec ce qu’on peut faire à ces âges.
Par rang de trois ou quatre élèves, la jambe droite de l’un liée par du ruban adhésif à la jambe gauche de l’autre, ils tentaient d’avancer sans finir à plat ventre.
Certains plus habiles que d’autres.
Nous avons ri de bon cœur, heureux de les voir heureux eux aussi.
Un léger incident tout de même :
L’ascenseur de la passerelle, qui fonctionnait à l’aller, alors que j’utilise le « pas d’âne » qui m’amène au quai, était en panne au retour alors que j’en ai besoin pour monter l’équivalent du phare de l’île de Ré qui m’amène de l’autre côté…