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jeudi, 27 avril 2017

Aujourd’hui, rien…

Lectrices chéries, mes amours.
Oui, mes chéries, mes amours.
Même la lâcheuse qui abandonne un blog en rase campagne après onze ans et vingt-quatre jours d’un blogage qu’on ne peut pas qualifier d’acharné.
Ni même de régulier, hein Mab
Bref, tout ça pour vous dire que je vais abandonner quelques jours l’idée de vous dire des bêtises.
Je n’ai pas envie de vous parler de politique et comme je suis obnubilé par le résultat du dimanche 7 mai, j’ai la cervelle aussi vide que celle de l’abstentionniste, ce Munichois de l’élection..
Celui qui fait que je pense comme Churchill « vous avez choisi le déshonneur pour éviter la guerre et vous aurez le déshonneur et la guerre ».
Reconnaissez que je ne vais quand même pas passer une semaine et demie à vous dire « Votez ! Votez pour la haineuse ou le bon élève mais votez ! »
Alors en attendant, si quelque chose attire mon attention, comme aujourd’hui notre balade vers la République mais c’est juste pour aller au musée après avoir mangé un « bô-bun » dans la gargote de la rue au Maire.
Il fait beau, je vais me peler de froid mais ai-je le choix ?
Je vous parlerai peut-être de ce « bô-bun » et du musée mais ce n’est même pas sûr.
En attendant je m’entraîne à éviter de grelotter et à faire bonne figure.
Oui, la lumière de mes jours n’a jamais froid et ne comprend pas qu’en dessous de 20°C je n’ai vraiment pas chaud.
Je me demande, après m’être abonné assez tôt aux « filles qui ont trop chaud », si je ne vais pas tenter la recherche de « la femme qui a toujours froid »…

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