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mercredi, 02 août 2017

Mais comment le magicien dose ?

Comment savent-ils ?
Non, ce n’est pas une question en l’air, lectrices chéries.
C’est même une question qui me taraude depuis un assez long moment.
Depuis que « blogspirit » a cessé de m’informer sur la fréquentation de mon blog au prétexte que la fonction « Statistiques » de la plateforme consommait trop de ressources pour un résultat peu fiable.
Sur leurs conseils, j’ai donc sur mon blog comme celui d’Heure-Bleue, mis en œuvre –« implémenté » selon le langage marketo-informatique en vogue ces temps ci- un suivi de sa fréquentation sur « Google Analytics ».
Évidemment, les résultats sont bien moins flatteurs que ceux que me donnait « Blogspirit » qui me gratifiait de visites « en veux-tu en voilà ! » et surtout bien moins enthousiasmant que ceux d’Heure-Bleue.
Les résultats fournis par « Google Analytics » ont néanmoins ce petit quelque chose qui me gêne.
Un phénomène se répète qui me tarabuste.
Le mardi matin, jour qui suit le « jour du devoir de Lakevio » je regarde ce que me dit « Google Analytics ».
Sans surprise, je remarque une hausse de la fréquentation de mon blog.
Soit.
Souvent, épuisé par l’essorage de neurones du « jour du devoir de Lakevio », je furète chez vous sans écrire.
Et c’est là que se produit le phénomène qui m’intrigue tant : Le nombre de visites du mardi s’est effondré.
D’où cette question lancinante : Lectrices chéries ! Comment savez vous que je n’ai pas écrit sans être venues le constater ?
Y aurait-il une fonction cachées dans « l’IA » de Google qui vous avertit de façon télépathique que ce n’est pas la peine de passer voir le blog du Goûte, de cliquer sur « http://Le-gout-des-autres.blogspirit.com », car ce fainéant n’a rien écrit aujourd’hui ?
Comment diable savez-vous que je n’ai pas écrit ?
J’espère vous avoir fourni de quoi vous triturer les méninges pour la journée.
C’était seulement pour que vous ne remarquiez pas mon absence.
Aujourd’hui, Heure-Bleue va s’en aller seule chercher les ballerines magiques qui ne lui tueront pas des pieds déjà à l’agonie.
Et votre serviteur chéri ira voir son ami, celui avec qui il n’est jamais d’accord, celui qui l’a invité à déjeuner.
Nous serons donc tous deux à Paris mais pas ensemble.
Vous voyez bien, lectrices chéries que nous ne sommes pas, comme dit une de mes lectrices adorées, « un couple fusionnel ».
Je vais même parfois chercher le pain tout seul, c’est dire…