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lundi, 24 juin 2019

A bout d'habits ? Doux bail !

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La toile du jour et les dix mots choisis à introduire dans votre histoire :
cheval
cinglant
stigmate
outrage
porcelet
caravane
pouf
parfum
digérer
limitrophe

Voilà.
Je cherchais une phrase.
Enfin, je l’avais mais je voulais y caser « myrmidon », quasiment impossible car je voulais raconter l’histoire d’un porcelet qui tenait absolument à battre un cheval à la course.
Essayez donc de caser « myrmidon » dans cette histoire…
Pourquoi « myrmidon » ?
Eh bien, honnêtement je veux surtout me venger.
Me venger en écrivant à ce fumier, ce porc, un poulet cinglant.
Oui, un de ces messages qui effacerait, sinon l’outrage du moins le stigmate qu’il m’a laissé sur le cœur, ce salaud !
Honnêtement, c’est surtout sur l’amour-propre qu’il a laissé la griffure.
Là, assise sur le pouf que j’ai amené sur le balcon, j’essaie de rédiger dans ma tête cette lettre.
Je la sens bien cette lettre.
Je le connais, avec sa susceptibilité il va avoir du mal à la digérer !
J’y réfléchis en respirant l’odeur du jasmin qui croît avec la tombée du soir.
J’adore cette senteur douce et plus le parfum du jasmin m’entête, plus je me calme.
Bon sang que ça sent bon le jasmin quand le soir tombe.
Il tombe en même temps que ma colère.
Je me dis que « myrmidon » est peut-être un peu trop vache.
Je me sens, avec cette odeur de jasmin, embarquée dans une caravane qui parcourt l’Orient le long de ces zones limitrophes qui ont vu tant de guerres depuis des millénaires…
Je vais renoncer car je me rends compte que mon billet vengeur prend des airs de documentaire agro-animalier…
Aaahhh… Ce parfum de jasmin, bon sang !
Alors je me mets à rêvasser aux amours suivantes qui ne manqueront pas, j’en suis sûre.
Myope comme je suis, ce qui rend mon regard légèrement trouble et trop doux, ça en a fait tomber un tas.
Passons donc au tas suivant.
Le dernier m’a plaquée mais bon, comme dit le proverbe « il faut bien une exception pour confirmer la règle »…