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lundi, 13 janvier 2014

La nature vous fait de ces cadeaux parfois…

Voilà, lectrices chéries, j’ai plusieurs projets de promenade en vue.
Dans Paris bien sûr.
Si je les écris, comme d’habitude je n’y mettrai pas une photo.
J’aime mieux tenter de vous faire voir à travers mes yeux, plus exactement mon œil, les quartiers visités, les rues traversées, les places admirées.
Oui, je suis sûr que si j’en mets les images, vous ne saurez jamais ce que j’en ai vu. Ce que j’y ai vu, ce que j’ai cru y voir.

Et puis il y a autre chose. D’autres choses.
Choses pas très bonnes pour le cœur,  que j’ai justement si sensible.
Je pense à l’instant à la prochaine promenade.
Me rendre à un endroit proche du Sacré Cœur.
Contrairement à ce que laisse penser le regard aussi suspicieux que vert que me jette régulièrement Heure-Bleue, il ne s’agit pas de soupirer après le souvenir d’une époque irrémédiablement enfuie.
Non, il s’agit de soupirer après ce cadeau fait à l’espèce humaine, ce cadeau qui me donne l’envie d’y goûter, qui me fait envie depuis que je le vis la première fois.
Cette fleur délicieuse dont le goût me fait saliver.
Quasiment défaillir, lectrices chéries.
Cette espèce de rose dont les pétales s’ouvrent comme par magie dès qu’on y pose le bout de la langue.
Une véritable merveille.
J’en tremble déjà d’envie.
Je l’ai rencontrée la première fois rue de Steinkerque, à mi-chemin entre le boulevard de Rochechouart et l’entrée du jardin du Sacré Cœur.
Aaahh… Ces pétales dorés, humides d’un miel si particulier.
Il m’a toujours été impossible d’y résister.
Oui, je sais, lectrices chéries, je sais…

Mais bon, comme disait le cardinal de Retz « on ne sort de l’ambiguïté qu’à son détriment »…

Ah ça, il faut bien reconnaître que les « kouignettes orange Cointreau » de la maison Larnicol sont une de ces merveilles trop peu connues. 

N’est-ce pas ?

Commentaires

En fait tu aimes arpenter Paris pour les gourmandises que tu trouves sur ton chemin

Écrit par : mab | lundi, 13 janvier 2014

ah! oui cette pâte feuilletée qui craque par endroit et dégouline de l'autre ! je crois que je n'aime pas, mais j'ai dû en goûter qu'une fois

Écrit par : maevina | lundi, 13 janvier 2014

C'est toujours une histoire de point de vue.

Anthony Kavanagh en parle très bien dans l'un de ses spectacles.

Écrit par : livfourmi | lundi, 13 janvier 2014

Tiens donc !!!
Il est aussi là-bas notre Quimpérois ....je me souviens de sa première pâtisserie " boule de neige " rien à voir avec celle d' aujourd'hui .
A chaque virée à Quimper dans les années 80, nous y allions avec mes filles,
actuellement, il est partout ! Serait-il devenu gourmand ?

Écrit par : boutoucoat | lundi, 13 janvier 2014

les kouignettes ??? connais pas ! mais apparemment tu apprécies!
Et je ne ferai aucun commentaires sur ta façon d'arriver à la conclusion!

Écrit par : emiliacelina | lundi, 13 janvier 2014

La récompense au bout de l'effort. Comme je te comprends même si je ne connais pas les kouignettes ! Par contre, je connais bien la rue de Steinkerque et j'y vais souvent ! La prochaine fois, on s'y retrouve.

Écrit par : lakevio | mardi, 14 janvier 2014

Les commentaires sont fermés.