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mercredi, 01 janvier 2020

Athéna

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À vous lire, je pressens que certaines de mes lectrices chéries ne savent pas encore qui est « Tornade ».
Tornade est une de nos amies.
Heure-Bleue et elle se sont croisées, il y a plus de vingt ans maintenant, sur un forum de littérature.
L’une était à Tel-Aviv, attendant sagement que son époux rentre du travail.
L’autre était à Londres, s’échinant à gagner la fortune d’un géant du logiciel.
Nous l’avons rencontrée plus tard en chair et en os.
Et surtout en MWh…
Je me demande encore depuis vingt ans d’où elle tire son énergie.
La voir à table est un plaisir et nous donne une vague idée de la source de son énergie.
Mais en réalité une très vague idée.
Je me demande souvent si « Tornade » n’est pas un des avatars d’Athéna.
Pas tant dans le domaine de la sagesse que dans son rôle de déesse de la guerre et de la défense des cités.
Vous commencez donc à pressentir qu’il vaut mieux l’avoir à ses côtés qu’être face à elle.
C’est bien, très bien même quoiqu’un peu épuisant parfois…
Donc, voilà, lectrices chéries, un pâle reflet de qui est « Tornade », Athéna dans une version énergétique qui n’est pas sans rappeler Super Woman.
Ça ne paraît pas mais c’est très chouette.
Par exemple ?
J’ai préparé le réveillon du Jour de l’An et nous étions cinq à table.
« Tornade » c’est ça : Vous venez d’avaler la dernière gorgée des « expressos dont un serré » .
Eh bien, la tasse à peine reposée, sans un bruit, sans un murmure, la vaisselle copieuse d’un réveillon pour cinq est lavée, essuyée et rangée.
Et ça, c’est super bien !
Donc, hier c’était bien.
Et même ce matin c’était bien.