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vendredi, 02 septembre 2016

Place du Théâtre Français, il a un buste en pierre, Molière…

Ouais, bon, je sais...

les-roses-d- Héliogabale.jpg

A la lecture des commentaires sur le blog de la lumière de mes jours, j’ai failli mourir étouffé par les grandes gorgées de petit lait dont vous m’avez abreuvé.
Pourtant, courbé sous le poids de ma fainéantise, j’avais eu peur de devoir faire un effort pour assurer ma défense.
Puis, après vous avoir lues, j’ai été rassuré.
Mieux, je me suis vu, tel Héliogabale sur sa couche, entouré de beautés noyées dans les pétales de roses, toutes à ma dévotion.
Je rêvassais à tout ça après une journée délicieuse entre deux jolies femmes.
Mais non, voyons, lectrices chéries, nous nous promenions dans les rues qui vont du Xème au Ier arrondissement en passant par les passages du IXème et du IIème.
Nous avons découvert, désolés, que le passage Jouffroy va passer du stade de charmant passage de petits commerces étranges et intéressants à celui de centre commercial.
S’y installe un Marks & Spencer qui va permettre aux passants de parsemer le carrelage du passage de canettes, de blisters de pâtisserie industrielle et de déchets divers…
Nous sommes partis du meilleur döner de Paris, –si, si, j’insiste- pas très loin du lycée Lamartine.
J’ai acheté deux verres sur la brocante de la place de la Bourse –chaque premier jeudi du mois- et nous avons fini dans un café de la galerie Vivienne.
Mes deux commensales y ont dégusté un « café gourmand sans le café » fait de glace, de crème chantilly et de mini gâteaux à la noix de coco.
Après ça, traverser la rue des Petits Champs devant la Galerie Colbert et prendre le le passage des Deux Pavillons pour traverser le jardin du Palais Royal.
Cette promenade, au lieu de les lui coûter ont rapporté deux cents grammes à Heure-Bleue.
Ce n’est pourtant pas la première fois qu’elle expérimente « la rétention de glace à la pistache ».
Aahhh… Si elle succombait à mon charme avec autant d’allant qu’à la glace de Mr Bertillon…
Nous avons abandonné Rosalie à la station Palais Royal et pris le 95 jusqu’à Saint Lazare où, tout a fait exceptionnellement, la SNCF a bien voulu nous ramener chez nous sans faire d’histoires.
C’est là que nous nous sommes rendu compte que plusieurs fois par semaine, nous partons à Paris.
Mieux, que nous sommes incapables d’y passer moins de huit heures.
Huit heures que nous ne voyons pas passer, occupés que nous sommes à papoter et  à traîner dans les rues…
Sous le coup de l’émotion, une fois le dîner pris, arrosé d’un vin délicieux acheté chez « Legrand Filles et Fils », Heure-Bleue, emportée par son élan, a pris le cachet du lendemain.
J’ai la boîte sous les yeux, confisquée le soir même.
Je serais navré de voir la lumière de mes jours vaciller pour cause de surdosage…

Commentaires

J'ai bien dormi, je n'ai pas "confusé" enfin pas plus que d'habitude.

Écrit par : heure-bleue | vendredi, 02 septembre 2016

ces promenades sont vraiment votre passe-temps favori !

Écrit par : liliplume | vendredi, 02 septembre 2016

faut vite lui acheter un semainier, avant qu'elle fasse une over dose si ca se reproduit plusieurs fois !

Écrit par : maevina | vendredi, 02 septembre 2016

Le cachet du lendemain?

Écrit par : livfourmi | vendredi, 02 septembre 2016

Je ne connais que la pilule du lendemain... mais bon, ça doit pas être ça :-)

Écrit par : Praline | vendredi, 02 septembre 2016

Un hymne à l'hédonisme, ce blog, moi je vous le dis... ;-)
¸¸.•*¨*• ☆

Écrit par : celestine | samedi, 03 septembre 2016

Les commentaires sont fermés.