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dimanche, 23 mai 2021

Un jour de pluie à Paris...

Gustave_Caillebotte_-_Jour_de_pluie_à_Paris.jpg


Nous sommes partis joyeux pour des courses lointaines sous un ciel à peine nuageux jusqu’à l’arrêt du 31 qui nous amènerait au croisement de la rue Jouffroy – Père de la marine à vapeur - et de la rue de Tocqueville – « L’exigence de liberté voudrait qu’elle fût infinie, la sagesse voudrait qu’on n’en fît point usage. » - afin de faire quelques courses rue de Lévis après avoir flâné tout au long de la rue de Tocqueville et de la rue de Lévis.
Mes connaissances sur toutes les boutiques de ces rues entre 1955 et 1967 ont donc été soigneusement rafraîchies par le cours d’Histoire urbaine dispensé gracieusement par Heure-Bleue.
Toutefois, quelques points sombres restent à éclaircir.
Il reste en effet quelques boutiques de ces rues dont la lumière de mes jours peine à se rappeler quels commerces elles abritaient.
Mais c’est rare. Très rare...
La prochaine fois, c’est sans doute quand nous irons acheter quelques vivres du côté de la rue de Poncelet en passant par la rue Cardinet que je prendrai un nouveau cours d’Histoire.
Vraisemblablement devant la « Librairie-Papeterie-Journaux » tenue par deux vieilles oubliées par le temps.
Ces deux vieilles, dont je n’ai vu qu’une seule, tenaient encore la boutique il y a un ou deux ans.
Et ça, ça m’intéresse car alors nous irons probablement chez Pou, ce traiteur qui fait de petites choses si bonnes pour la langue et si délétères pour le foie...
Il y a, depuis la fin de ce « faux confinement » un je ne sais quoi de primesautier dans l’air, ce quelque chose que je dirais bondissant si ce fichu genou ne m’empêchait pas de bondir.
Bon, mon dos aussi m’empêche de bondir mais je mets un point d’honneur à n’ennuyer que la lumière de mes jours avec ça...
Mais si vous voulez, je peux aussi me plaindre de mon dos sur le blog mais ça fait passer la fréquence des commentaires de « pas terrible » à « affreusement vexante ».
En attendant, je vais me mettre au boulot car, le dimanche matin, c’est jour de « Lit en grand » et l’après-midi de « grand ménage » avec lavage de cuisine, de salle de bains, etc.
Bref, pour le retraité la vie est l’inverse de celle du travailleur.
Le dimanche, c’est la mine et la semaine, c’est vacances.
Franchement, avez-vous déjà lu quelque chose aussi peu digne d’intérêt que cette note qui est un véritable pensum.
Je vous l’ai dit : Le dimanche, c’est la mine...
Au fait, on est rentré sous la pluie.
Il y a néanmoins quelque progrès dans la malchance car habituellement il fait beau jusqu’à ce qu’on sorte de la maison et il pleut jusqu’à ce qu’on arrive en bas de chez nous.
À ce moment-là, le soleil revient...

Commentaires

Allez, je t' apporte mon "one point" comme à l'Eurovision. Tu as le droit de pleurnicher comme notre Barbara nationale arrivée 2è et VOILA !

Écrit par : Nina | dimanche, 23 mai 2021

Ton arrçt du 31 était celui de ma mère (snif).

Écrit par : Nina | dimanche, 23 mai 2021

Plutôt Pont Cardinet devant le 5 rue de Jouffroy. (re-snif).

Écrit par : Nina | dimanche, 23 mai 2021

mais voyons!!! Bien sûr que tu peux nous conter tes misères.... on te plaindra toujours (puisque l'on n'est pas obligé de t'écouter gémir une fois que l'on aura cliqué pour fermer l'ordi ! ) .....

Écrit par : Emiliacelina | dimanche, 23 mai 2021

Le dimanche c'est "mine"...
mais le lundi, c'est "crayon" !!!
Et même "pinceau", parfois !
De quoi retrouver le moral, non ?

Écrit par : La Licorne | dimanche, 23 mai 2021

Victor Hugo, sors de ce corps !
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆

Écrit par : Célestine | lundi, 24 mai 2021

Les commentaires sont fermés.