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lundi, 25 octobre 2021

Devoir de Lakevio du Goût N°102

balade avenue Louise.jpg

Ce matin, je me promenais dans Bruxelles sur Google Map à la recherche de l’endroit où nous avions habité environ un an.
J’ai beaucoup aimé cette petite promenade.
Elle m’a inspiré.
Et vous ?
J’espère avoir lundi quelques lumières sur ce qu’elle a suscité chez vous…

Vendredi matin, comme je vous le disais, je me suis promené avec Go..le_Map à Bruxelles.
Je n’y pensais plus depuis des années quand une des nombreuses dissensions entre l’Union Européenne et la Pologne m’a rappelé Bruxelles.
Je me rappelle avoir habité dans une petite avenue qui donne sur l’avenue Louise.
J’ai alors commencé par vérifier si le cinéma de l’avenue de la Toison d’Or était toujours là.
Quand nous habitions Bruxelles, j’avais été surpris de voir une avenue de la Toison d’Or là alors qu’elle était censée être en Aulide, mais bon…
Puis j’ai commencé à remonter l’avenue Louise, ce qui est fort agréable quand on n’est pas soumis aux aléas de la circulation grâce à « MM GAFAM ».
J’y ai donc flâné le nez au vent de mon écran, me dirigeant vers le Bois de la Cambre.
Arrivé place Stéphanie, j’ai levé le nez vers les toits et le ciel, pensant comme toujours que les caténaires des tramways gâchaient le paysage.
C’est alors que j’ai entrevu un graffiti de bonne taille sur le mur de briques qui surplombait un bel immeuble ancien.
La curiosité m’a poussé à user du zoom pour voir de plus près ce que représentait ce graffiti.
C’était intéressant, ça m’ouvrait des horizons sur une façon de faire que je ne pouvais moi-même expérimenter faute de disposer d’un équipement identique.
C’est là que je me suis dit que la solitude qui frappe aussi bien en Belgique que partout ailleurs dans le monde poussait la population à trouver des solutions, si possible agréables, pour passer le temps…
Si vous aussi usez du zoom de votre machine, vous verrez à quoi on s’occupe, à Bruxelles comme partout ailleurs…
En souriant – niaisement, je dois l’avouer – j’ai poursuivi ma pérégrination jusqu’à l’avenue Legrand.
Je peux vous le dire aujourd’hui : Le petit restaurant « Les filles à papa » de la rue proche de là où nous vivions n’existe plus.
L’avenue Legrand est toujours aussi calme.
Le coiffeur où la maman de Mme Aubry se faisait apprêter a, quant à lui fermé.
Heureusement, le café « Le Carrefour » à l’angle de l’avenue et de la Chaussée de Waterloo est toujours là.
J’aime bien aussi quand certaines choses sont immuables.