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vendredi, 31 janvier 2014

L’une veut jouer, l’autre console…

Les fautes d’orthographe renseignent de façon involontaire bien plus que ce que voudraient avouer ceux qui les commettent.
J’en veux pour preuve ce que j’ai lu .
Ce garçon ( ?) tente de vendre son épouse car il préfère, semble-t-il, jouer au lit avec une console plutôt qu’avec son bonheur du jour sa moitié.
A la lecture du titre, je me demande si ce n’est pas sa femme qui l’a poussé à tenter la transaction.
En effet, on peut lire « Prix à débattre, très peu servie ».
C’est en voyant le « e » à la fin de « servie » que le doute s’est installé et m’a amené à conclure que peut-être la dame avait soufflé la solution de l’annonce.
Combien de femmes « très peu servies », voire mal servies, ont poussé leur époux à aller jouer à autre chose…

Commentaires

Ah zut le lien est inactif.

Écrit par : mab | vendredi, 31 janvier 2014

Oui mais est-ce que la console fait la vaisselle ?

Écrit par : Berthoise | vendredi, 31 janvier 2014

Je suis tout à fait d'accord avec la première phrase de votre article....

Écrit par : Madeleine | vendredi, 31 janvier 2014

Les commentaires sont fermés.