mardi, 10 mars 2015
Les obsèques, ça fait mal…
Je vais recommander à Heure-Bleue de se retenir qui, comme toutes les femmes y passe un temps fou.
Peu chaque fois mais souvent.
Ces trop nombreux épisodes coûtent un blé monstre !
Je vais quant à moi renoncer à aller aux toilettes.
Pourquoi cette diatribe ?
Rappelez vous, lectrices chéries, cet épisode douloureux, autant pour notre intimité que pour notre porte-monnaie, du PQ écolo.
Cette dramatique étape dans une vie intestinale par ailleurs satisfaisante avait au moins permis de trouver une explication rationnelle à l’air constipé de beaucoup de leaders de mouvements écologistes.
Il en était ressorti que le papier prôné par ces gens qui ne s’en servaient jamais, s’il avait une évidente qualité de légèreté avait l’inconvénient de rappeler la toile émeri quant au confort.
Je frissonne à l’idée d’Heure-Bleue l’utilisant « là ».
Il avait aussi un autre inconvénient en terme de prix. Vicieux celui là.
Il était si mince qu’il en fallait quatre fois plus qu’habituellement mais, coûtant le même prix que celui qui donne l’impression d’utiliser de la flanelle, et durait du coup quatre fois moins longtemps.
Je vous laisse imaginer le surcoût des effets secondaires d’un repas d’anniversaire…
Revenons à l’objet de cette note, lectrices chéries.
Aujourd’hui, la lumière de mes jours et moi sommes sortis, histoire de faire quelques kilomètres avec un but pas débile.
Nous avons profité du dépôt dans la poubelle du petit rouleau censément soluble dans les toilettes, ce que nie Heure-Bleue qui ne croit en rien, pour aller acheter du PQ.
Et vous savez quoi, lectrices chéries ?
Eh bien le paquet de quatre rouleaux de PQ nous a coûté 54,15 € au Monop’ !
Ouaip ! 54,15 € !
Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais au Monop’, le PQ est exorbitant.
Bon, ce n’est pas tout à fait vrai.
Le problème, c’est qu’avant d’arriver au rayon du PQ, il nous faut passer devant des étagères où on va voir des choses terribles comme le cou de canard farci, du saumon bio irlandais, du beurre Bordier, des trucs comme ça.
En plus, pour arriver aux caisses, on passe devant les livres.
Et là c’est le drame.
Je me demande si, une fois lus, on ne devrait utiliser les livres à la place du papier toilette.
Au moins le retour sur investissement ne serait pas que négatif…
Oh ! Heure-Bleue a bien tenté de faire des économies. Le PQ lui-même était d’un prix modique.
Hélas, les faux-frais se sont révélés redoutablement vrais-frais.
Le PQ Monop’ se solde à ce résultat désolant mais attendu : 54,15 €.
Voilà, lectrices chéries à quoi j’ai abouti : 54,15 € !
Le PQ le plus cher du monde !
Tout aurait pu se dérouler le mieux du monde si nous n’avions pas regardé les infos.
Le PQ était sorti de nos esprits quand un type du gouvernement est passé sur l’écran.
Heure-Bleue a dit :
- Il est ridicule ! Je déteste lcs mecs qui se teignent les cheveux !
Je me suis contenté d’un :
- Je ne me teins pas le cheveux mais je suis quand même moins brun…
Gentille, elle m’a répondu :
- Mais si mais si Minou, tu es toujours très brun, je t’assure.
J’ai failli me rengorger.
Malheureusement, elle a ajouté :
- Bon, d’accord, je ne vois plus très clair…
08:30 | Commentaires (14)
Commentaires
Les japonais l'ont bien compris, les Arabes aussi, bidet ou pierre c'est quand même plus économique, remarque que je n'ai testé ni l'un ni l'autre.
Écrit par : mab | mardi, 10 mars 2015
Cou de canard farci, saumon, beurre.... vous avez bien fait de faire provision de papier toilette !
Sinon, moi non plus je ne jette pas le rouleau vide dans la cuvette, je n'ai pas confiance en la soi-disant solubilité.
Écrit par : Praline | mardi, 10 mars 2015
Main gauche !... Tu feras des économies de PQ mais peut être pas de savon !
Écrit par : Lakevio | mardi, 10 mars 2015
Notre postérieur est délicat , il nous faut de la qualité et la qualité , c'est onéreux , profite des toilettes du Monop , ça te fera une feuille et une chasse en moins !!!!
Écrit par : Brigitte | mardi, 10 mars 2015
rien n'est trop beau pour vos éminents postérieurs !
Écrit par : liliplume | mardi, 10 mars 2015
Alors là! encore une fois tu me sidères! Mais où vas-tu chercher tes idées de notes ???? Enfin, pour celle-ci je ne pose pas la question!
Écrit par : emiliacelina | mardi, 10 mars 2015
Très brun ? Mais alors qui accompagnait Heure-Bleue au Concorde Saint-Lazare ?
Écrit par : Marie-Floraline | mercredi, 11 mars 2015
C'est que ça fait mal ?
Sexe ça fait mal ?
Sexe ça fait mâle ?
Je n'ainpas compris le titre oh be c'est qu'ca va mal.
Écrit par : Ckan | mercredi, 11 mars 2015
Comment ça se fait que tu sois obsédé à ce point par cet endroit-là ? Pas compris non plus le titre. Tu ne veux pas nous disséquer ça ? A ne pas confondre avec déféquer.
Une femme restera toujours une femme. J'ai trouvé la parade. C'est mon mari qui fait toujours les petites commissions, et, une fois par mois, nous faisons ensemble la grosse commission.
Écrit par : juliette | mercredi, 11 mars 2015
De quel endroit parles tu ?
Des toilettes ou de nos fondements ?
Écrit par : le-gout-des-autres | mercredi, 11 mars 2015
Mon ami Monoprix me fait exactement le même effet. D'ailleurs, je dis toujours que je vais y faire un "petit tour". Ce qui sous entend que ça va être vite fait. Ça fait bien marrer ma fille. Elle est pas dupe. Elle sait bien que petit ou grand tour, je ramène toujours une ou plusieurs "petites douceurs" sucrées ou salées ou une "petite déco" ou une "petite fringue". Tout semble "petit" sauf le montant de mon ticket de caisse...
Écrit par : Rosalie | mercredi, 11 mars 2015
Je penche pour : les zobs secs ça fait mal pour ton titre , juste ou pas ?
Écrit par : Brigitte | mercredi, 11 mars 2015
Bravo !
Écrit par : le-gout-des-autres | mercredi, 11 mars 2015
en fait faire les courses ça fait chier quoi !
Écrit par : maevina | mercredi, 11 mars 2015
Les commentaires sont fermés.