Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 28 septembre 2017

La coupe dévisse…

Le tri des jouets s’est passé exactement comme prévu : On garde quasiment tout !
Ce qui est vieux parce que c’est là depuis toujours et que « quand même Mamie, j’étais petite ! »
Ce qui sert habituellement parce que justement ça sert chaque fois qu’elles viennent.
Ce qui est nouveau parce que « Mamie, on joue avec c’est tout neuf ! »
Quelques uns ont échappé à une vague conservatrice qui ferait passer Chateaubriand pour un progressiste échevelé.
Ils ne seront pas jetés, ils seront vendus lors de la prochaine brocante où JJF a décidé de tenir un stand.
Je la connais, ce n’est pas tant pour remplir la tirelire de Merveille que pour récupérer des mètres carrés dans la chambre des filles…
Bon, en vrai c’est pour la Caisse de l’École.
Nous voici donc avec un peu plus de bordel dans la chambre qu’avant l’arrivée de Merveille et P’tite Sœur.
Une Merveille dont je dois vous dire deux mots.
Elle a décidé unilatéralement qu’elle n’était plus une enfant mais une « préado ».
Dans mon esprit c’était la même chose mais il semblerait que non…
On n’en est pas encore à « d’abord je n’ai pas demandé à naître » proposé par Heure-Bleue.
On n’en est pas encore à « mais vous ne pouvez pas comprendre, vous ne savez pas ce que c’est » que j’ai proposé.
Néanmoins, selon une information recueillie des vermeilles lèvres de la lumière de mes jours, quelque chose me dit que les portes qui claquent, les « ça ne vous est jamais arrivé ! », les « Pfff… Vous ne pouvez pas savoir… » et les « personne ne me comprend ! »  approchent à pas de loup chez Merveille.
La preuve, elle arrive à agacer sa mère.
Et ça, c’est un signe qui ne trompe pas…
Ah, au fait ! Les cartons sont arrivés.
Il faut s’y coller…