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mercredi, 28 avril 2010

Déjazet, et ce n’est qu’un début.

Heure-Bleue et moi sommes allés voir Stéphane Guillon au théâtre Déjazet.
La salle était pleine et nous étions bien placés, d’autant mieux placés que les deux places de la rangée « C » situées devant nous étaient libres. Les deux seules. Probablement de pauvres vacanciers pris en otages par un nuage de cendres…
Bon, en fait, Guillon fait comme moi, mais en moins bien…
En plus il est d’une ingratitude rare et son spectacle est plein d’oublis.
Il a oublié, parmi les remerciements chaleureux, ceux qu’il doit à deux vedettes régulièrement citées : Nicolas Sarkozy et Eric Besson.
Il imite très bien notre Napoléon au petit pied avec talonnette, d’ailleurs il a presque la même taille.
En revanche, collant au plus près de l’actualité, je m’attendais, avec le procès de Mr Pasqua à ce que Stéphane Guillon nous offrît un vrai pastiche de Marseille.
Il a un peu glosé sur les dissensions de la gauche et, oubliant l’art délicat du contrepet pour l’occasion, il n’est tout de même pas allé jusqu’à clore sa moquerie par un tonitruant « d’ailleurs, Jean-Luc Mélenchon lui-même…»

Ce fut une bonne soirée tout de même, commencée devant une bouteille de Fleurie d’une bonne année dans un petit restaurant du Marais qui, une fois n’est pas coutume, n’a pas mis nos finances en péril pour les deux prochaines années.
Heure-Bleue fut toutefois un peu déçue, elle préfère Michel Boujenah.
Mais allez savoir si c’est pour l’accent, le théâtre de Tel-Aviv ou un spectacle plus convaincant.
A moins qu’elle ne supporte plus d’entendre parler de politique sur le même ton qu’à la maison…

Commentaires

Un peu de tout ça...

Écrit par : heure-bleue | mercredi, 28 avril 2010

Moi je le regarde toujours quand je le peux, seulement parce qu'il ne s'interdit rien.

Il a raison d'ailleurs, c'est aussi un moyen de se protéger, difficile à virer aux yeux du

publique aujourd'hui.

Et bien, voilà, nous allons aussi entrer dans le cycle de peinture. Couloir et entrée,

ainsi que W-C. Nous enlevons le papier et mettons de la peinture et en même

temps, mettre tous les câbles (Téléphone et Internet) sous baguettes ! c'est un

jeune retraité du métier et qui habite notre tour, qui nous le fait. C'est la première

Fois que je fais faire par autrui !! Il est correct pour les prix et nous savons ce qu'il

vaut comme travailleur. Il nous a déjà refait le carrelage de la salle de bain. 25 ans

que nous nous connaissons !! ciao !!

Écrit par : patriarch | mercredi, 28 avril 2010

Chez toi il n'y a pas une once de méchanceté, c'est toute la différence, ce jeune homme , plus si jeune d'ailleurs m'insupporte.

Écrit par : mab | jeudi, 29 avril 2010

une bonne soirée tout de même !

Écrit par : saperli | jeudi, 29 avril 2010

il est hard, le pépère!! je ne sais pas si j'arriverais à supporter une soirée entière!

Écrit par : maevina | jeudi, 29 avril 2010

Il faut essayer "Chez Camille", rue des Francs-Bourgeois, au coin de la rue Elvézir, pas cher, bon, accueil charmant... chose en voie de disparition :o)
Guillon, je l'aime bien, mais je trouve qu'il est plus supportable à petites doses...

Écrit par : Christine | vendredi, 30 avril 2010

Nous sommes aussi allé voir ce spectacle à la Bourse du travaille à Lyon. Nous avons, nous aussi passé un très bon moment. Les idées de sketch sont originales et il faut bien dire que tous ne tournent pas qu'autour de la politique.
J'ai trouvé que sont spectacle ne reflétait pas ce qu'il proposait en télé. J'étais plutôt conquit.

Écrit par : Thygo | samedi, 01 mai 2010

mon fils l'aime beaucoup aussi !

Écrit par : liliplume | dimanche, 02 mai 2010

Il se trouve que nous l'avons vu en Isère où il a donné ses deux premières représentations. MAIS, il ne connaissait pas son texte et a donc tout lu, certes bien lu, mais il était un peu gauche du coup, devant tenir ses anti-sèches des deux mains.
Et j'ai été déçue car je l'ai trouvé sur la longueur moins pertinent que dans ses chroniques. Le 24 avril, ma petite frangine est allée à Dejazet aussi: en-chan-tée.
Il a donc rôdé chez nous avant de combler son public parisien...Ah le sens du sacrifice!

Écrit par : Beloubelette | vendredi, 07 mai 2010

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