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vendredi, 31 mai 2013

Il y a des jours comme ça…

Déjà, hier, nous sommes allés dîner avec une amie qu’on aime et son mari.
C’était bien.
Du moins jusqu’à ce matin…
Là, c’était moins bien. Hier soir nous avons pris un taxi pour revenir à la maison.
Oui, revenir à la rame ou noyés nous branchait moyen…
Nous avons cru un moment que Noé tournait « Le déluge II ! Vous avez aimé l’Arche ? Vous adorerez Le Bus ».
J’en ai profité pour perdre un des trousseaux de clefs de la maison. Celui qui contenait aussi la clef du local à poubelles. Nous n’allons pas rire avec nos déchets, ces prochains jours…
« La lutte était ardente et noire », disait Victor qui, manifestement ne connaissait rien des emmerdements qui guettaient le Goût.
Ah ! Que je vous dise… De notre nouveau « FAI » nous avions reçu le dix-sept mai une « Live box », un décodeur TV, les câbles et tout et tout.
Evidemment, le vingt-sept mai au soir, les mots de passe nécessaires qui devaient nous être fournis manquaient…
J’ai téléphoné et, au bout de quelques heures, j’ai enfin obtenu les informations nécessaires.
Ne croyez pas un instant que nos problèmes ont pour autant été résolus.
Bien sûr que non…
Nous avons d'abord bondi de joie à l’idée d’avoir de nouveau du téléphone et Internet.
Votre Goût sautillant de joie à voir arriver ses lectrices chéries en rangs serrés.
Une Heure-Bleue trépignant de haine à vous voir toutes vous ruer sur mon blog.
J’ai fini de brancher toutes ces machines bizarres. Terminant par le décodeur TV.
Mon téléviseur me demande alors narquoisement « insérez votre carte, la puce vers le haut. »
Quelle puce ?! Non mais quelle puce ??? « Nan mais allo quoi ! T’as un abonnement et t’as pas de puce quoi… » comme dirait Super Nunuche.
J’appelle illico le service idoine, celui qui vous donne l’impression au bout de dix minutes que vous auriez été bien inspiré d’aller chez un autre FAI.
Une accorte dame, dite « conseillère », m’envoie dans une boutique proche chercher « la » puce. J’ai quand même un peu de chance, je ne suis pas tombé comme la dernière fois sur une jeune femme qui vous annonce « Je me présente, Noémie, etc » avec un accent du bled à couper au couteau ce qui a le don de me faire hésiter entre l’envie de rire et l’envie de pleurer. Quoique j’aime bien de temps en temps terminer une conversation avec une Corinne par « Choukrane ». Ça les détend…
J’attends. Une demi-heure environ. Pour apprendre que cette boutique ne peut « déstocker la puce » dont j’ai besoin « parce que vous voyez, on n’est qu’un interface commercial » (Sic). Le type de la boutique m’envoie un peu plus loin dans une boutique qui pourra me fournir de quoi « libérer du temps de cerveau » pour un célèbre fabricant de soda…
Evidemment, en sortant de la boutique, il pleut. Que dis-je, il pleut… Je me demande de nouveau si Noé…
Heureusement, dans la « vraie boutique » FT, en moins de cinq minutes mon souci est effacé. Pour être remplacé par un autre : je n’ai pas de bateau pour traverser la place de la Nation. J’attends le 26 qui m’amènera près de chez moi. Il arrive et, ô joie, je ne suis plus qu’à deux stations de la ligne 76. Mais il pleut toujours, j’attends donc le 76 en m’abritant tant bien que mal et suis de nouveau trempé. Enfin un 76 arrive. Je me réjouis trop tôt, cet imbécile de bus prends la rue des Pyrénées au lieu de continuer vers mon chez moi. Celui-là est dévié pour une obscure raison. Je prends donc mon courage à deux mains et me remets en marche sous la pluie. A peine trente mètres parcouru je suis doublé par un 76…
Comme je suis bien élevé, je ne me mets pas à hurler « P… de b… de m… !!! » mais je n’en pense pas moins et continue d’avancer sous le déluge.
Evidemment, quand j’arrive devant chez moi, la pluie cesse et un rayon de soleil apparaît.
Il y a des jours, comme ça, où tout vous sourit…

Commentaires

Tu n'avais qu'à prendre la free, pas d'attente et une amabilité qui est bien agréable.
Je ne pense qu'aujourd'hui tu risques la noyade.

Écrit par : mab | vendredi, 31 mai 2013

les tribulations d'un bon parisien , en somme !!! mdr !!!!

Écrit par : maevina | vendredi, 31 mai 2013

Je préfère marcher sous la pluie plutôt que d'avoir des parapluies qui s'égouttent sur les chevilles et sentir le chien mouillé. Mais là il faut les bottes et le ciré ! Comme à la pêche... Ou alors... je reste chez moi et... je lis ! Aaaaaaaaaaaatchoum !

Écrit par : lakevio | vendredi, 31 mai 2013

Tiens , quand je serai aimable , je dirai aussi choukrane , Noé est là aujourd'hui , on va se clôitrer , dès fois que la barque coule ! Et fais gaffe aux clefs !

Écrit par : Brigitte | vendredi, 31 mai 2013

MDR: ce fut une belle journée..... Bon après midi. amicalement

Écrit par : patriarch | vendredi, 31 mai 2013

j'ai d'abord lu HB . Alors chez vous aussi on perd les clefs ? Cela me rappelle des souvenirs lors d'un déménagement sous la neige ! Pas triste ! Apparemment vous préférez la pluie , vous êtes servis !

Écrit par : emiliacelina | vendredi, 31 mai 2013

vous êtes à Paris, qu'importe la pluie !

Écrit par : liliplume | vendredi, 31 mai 2013

Tu as vu, aujourd'hui, il fait beau.

Écrit par : berthoise | samedi, 01 juin 2013

Les commentaires sont fermés.