mercredi, 09 mars 2016
Aujourd'hui, pas de cas rosse.
ImaginerJ’ai lu hier chez Imaginer, quelque chose qui m’a interpellé.
Elle me dit
« Marcher vite n'empêche pas d'admirer la ville, les façades, les vitrines. Je t'assure que marcher vite (voire courir) n'empêche pas de profiter de l'environnement;-) »
Eh bien, Imaginer, je suis sûr que tu n’aurais pas vu toutes ces petites choses qui font que Paris est une ville à nulle autre pareille.
Et c’est une occupation prenante que l’arpenter.
Oui, je ne fais pas que cramer des spaghetti, je fais d’autres bêtises et je regarde autour de moi.
Non, Imaginer, Paris n’est pas une ville qu’on traverse au pas de charge, c’est une ville où l’on flâne.
Ça permet, Journée internationale de la Femme oblige, de remarquer des choses intéressantes, comme ça :
De repérer des choses poétiques comme ça :
Des choses attendrissantes comme celle-ci.
Ou celle-là:
Et même des choses drôles comme celle-là.
09:19 | Commentaires (12)
Commentaires
J'arpente au pas de charge, marcher lentement me bousille le dos.
Écrit par : mab | mercredi, 09 mars 2016
Eloge de la flânerie...tout un état d'esprit que je partage, même si, comme Mab, j'ai tendance à avoir une barre au bas du dos après une balade le nez au vent.
Adorables, les amoureux de Peynet...
¸¸.•*¨*• ☆
Écrit par : celestine | mercredi, 09 mars 2016
Quand je marche -et en ce moment c'est du sur-place - c'est assez vite en continu.
Mais l'oeil aux aguets car c'est vrai qu'il faut regarder autour de soi et découvrir des trésors.
Il y a peu, j'ai découvert une sculpture de façade sur un chemin que j'emploie souvent.
J'adore ces petits riens qui sont le sel de la vie ...
Écrit par : Sophie | mercredi, 09 mars 2016
tu te prends pour Doisneau ?
Écrit par : liliplume | mercredi, 09 mars 2016
Oh que oui : Paris est une flânerie. Flâner, les yeux aux aguets, le nez souvent en l'air pour voir l'architecture, sur les côtés pour découvrir les petits secrets des portes, vitrines, plaques, noms, etc... et le nez sur le trottoir pour éviter les crottes de chien ! Alors, au pas de charge, non, trois fois non .
Écrit par : lakevio | mercredi, 09 mars 2016
Et tu te rends compte , le "pas de carosses" m'empêche d'aller (re)voir mon nouveau petit-fils !
Écrit par : lakevio | mercredi, 09 mars 2016
Je pense que l'on devrait toujours flâner dans une ville pour y découvrir les détails. Paris ou une autre.
Écrit par : livfourmi | mercredi, 09 mars 2016
Gêne occassinée ?
C'est quand on a des envies assassines pour être le bec dans l'eau ?
Écrit par : berthoise | mercredi, 09 mars 2016
normal que traînes, tu regardes ta ville avec les yeux de l'amour !
Écrit par : emiliacelina | mercredi, 09 mars 2016
Il suffit de flâner sur le net pour trouver ces beaux proverbes... Pas besoin de sortir dehors.
Écrit par : Ckan | jeudi, 10 mars 2016
Tu sais que j'aime ces détails glanés d'un oeil curieux, photographiés et partagés.
"Merci pour la gêne occasinnée" le concept est surprenant...
Écrit par : Brin de broc | jeudi, 10 mars 2016
Mais.... Le Goût....il y a un temps pour tout.
Quand tu travaillais, que tu allais d'un rendez-vous à l'autre, y allais-tu en flânant, en marchant à deux km/h ?
Quand je suis en balade avec Chéri c'est différent, mais quand je suis seule et que je vais à un endroit précis où l'on m'attends, oui je marche d'un bon pas;..
Et en règle générale j'ai toujours marché vite, piétiner me fatigue bien plus que marcher vite;-)
Et je t'assure que même en marchant vite, l'esprit est vif aussi et enregistre tout ce qu'il y a à voir sur le passage.
Ceci dit, je pense avoir une nature moyennement flaneuse:-)
Écrit par : imaginer | vendredi, 11 mars 2016
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