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jeudi, 02 novembre 2017

Le vertige fasse Ovide !

De rien Mab, de rien…

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Aujourd’hui, ignorant de L’Art d’aimer, je ferai de la publicité, histoire d’achever mes métamorphoses.
Je ne vous parlerai donc pas des Amours, pour ne pas vous parler des Remèdes à l’amour.
Je me satisferai des Tristes Fastes des Fards mais ne vous parlerai pas des Soins du visage.
Tout ça pour vous dire que TC, le bienaimé de Milky est l’heureux et courageux éditeur de la nouvelle traduction des Métamorphoses d’Ovide.
Ce souvenir à la fois doux et amer de mes années studieuses.
Année de quatrième où on nous annonça qu’une œuvre immortelle d’Ovide nous serait enseignée et nous pourrirait nos jeudis soirs et dimanches soirs de thèmes et versions diverses.
Accompagné d’une bande de gamins obsédés, comme eux je rêvai d’une étude approfondie de « L’Art d’aimer ».
Comme mes camarades obsédés, je fus terriblement déçu de devoir piocher des morceaux des Métamorphoses dans le Morisset-Thévenot et le petit fascicule Hatier.
Voilà tout ce que m’a inspiré la vitrine de la librairie « Comme un Roman », rue de Bretagne.
Mais c’est quand même agréable de constater que la vitrine d’une librairie vous rappelle une amie et vous fasse rajeunir la cervelle de plus de cinquante ans.
Alors qu’il est si facile d’oublier ses parents et qu’il est impossible de rajeunir un genou, ne serait-ce que de vingt ans…