mercredi, 12 août 2020
La pluie va nous mettre des gouttes dans les cieux…
Ouais, je sais mais Mab ne va plus me disputer pour ça, et c'est dommage...
Ce matin, comme tous les matins, pendant que mon bol de lait refroidit, j’ai fait le tour de vos blogs.
Comme tous les jours, j’admire la constance, le talent et la concision d’Adrienne.
L’attention prêtée aux « choses de la vie » de Delia et Fabie.
L’imagination d’Alainx ou Coumarine.
Bref, vous faites surtout preuve de courage, celui de s’atteler régulièrement à l’écriture.
Courage qui me fait défaut…
Ce matin, toutefois, la lecture de la note de Berthoise m’a satisfait.
Pleinement satisfait.
Je la lis pendant qu’Heure-Bleue fond tranquillement sur sa chaise.
Et là, que constaté-je ?
Berthoise, comme Heure-Bleue, fond et se languit du bord de mer breton.
Berthoise, comme Heure-Bleue m’enchante.
Je suis heureux de constater qu’il n’existe pas d’avantage gratuit.
Berthoise, comme Heure-Bleue – Le-Goût, tu commences à abuser très fort de l’anaphore, là…-, bénéficie de l’avantage qui est alloué sans raison aux « claires ».
Le monde étant majoritairement peuplé de « rastaquouères », la nature a accordé aux « claires » un avantage scandaleux en matière de séduction.
Ces « claires » sont équipées par la Nature de cette peau qui nous susurre à nous autres, les basanés, les olivâtres « viens donc m’embrasser… »
Ces « claires » sont dotées d’yeux clairs que nous autres, les bronzés, rêvons de faire chavirer.
En plus, certaines sont dotées de cheveux de flamme qui nous allument, nous, les « rastaquouèrtes » à cheveux noirs et qui ne disposent que de deux yeux bruns.
Et encore, pas tout le monde car j’en connais un à qui il en manque un.
Imaginez donc ma joie mauvaise, ma vraie « schadenfreude », celle décrite par Freud, quand je lus ce matin sous la plume de Berthoise qu’elle souffrait, comme Heure-Bleue, de la chaleur.
Enfin, j’avais découvert le prix des avantages scandaleux accordés par la Nature à ces exemplaires admirables du genre humain.
J’avais là la preuve que l’adage « Il n’y a pas de repas gratuit » n’était pas qu’une trouvaille mercantile des « marketing directors »…
09:21 | Commentaires (8)