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Cette toile de Nigel Van Wieck qu’on dirait tirée du cerveau de Hopper me paraît traduire plus que de la peine. D’après vous ? Que nous dit cette toile ? On le saura lundi j’espère…
Écrit par : Adrienne | vendredi, 17 septembre 2021
Adrienne
C'est vrai qu'il y a du Hooper sous-jacent.
Nigel Van Wieck répond que Hopper peint le fait d’être solitaire alors que lui peint la solitude. C'est sûrement sur cette phrase tout en nuances que médite la passagère du métro qui va à la plage.
Oh là là ! en voyant le thème, a surgi de ma mémoire un épisode douloureux ; ce n'était pas dans le métro mais dans le train. Je publierai donc lundi mais comme je suis absente ce week-end je reprendrai un texte que j'ai écrit en 2006 ! ;-)
Commentaires
merci!
Écrit par : Adrienne | vendredi, 17 septembre 2021
C'est vrai qu'il y a du Hooper sous-jacent.
Nigel Van Wieck répond que Hopper peint le fait d’être solitaire alors que lui peint la solitude. C'est sûrement sur cette phrase tout en nuances que médite la passagère du métro qui va à la plage.
Écrit par : alainx | vendredi, 17 septembre 2021
Ben dis donc , vague d 'optimisme en vue
Écrit par : epalobe | vendredi, 17 septembre 2021
Oh là là ! en voyant le thème, a surgi de ma mémoire un épisode douloureux ; ce n'était pas dans le métro mais dans le train. Je publierai donc lundi mais comme je suis absente ce week-end je reprendrai un texte que j'ai écrit en 2006 ! ;-)
Écrit par : Praline | vendredi, 17 septembre 2021
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