mercredi, 13 novembre 2024
La réalité dépasse l’affliction.
Je me perds en conjectures.
Ouaip ! Je fais ça de temps à autre !
Deux commentateurs dont une commentatrice, viennent depuis des années agrémenter mon blog qu’un filet de fiel.
Et c’est là que ces fameuses conjectures, certainement labyrinthiques pour que je m’y perde, arrivent.
Et je me demande ce qui peut pousser quelqu’un à me dire qu’il ou elle me lit depuis plusieurs années et n’aiment pas du tout ce que j’écris.
Soit, mais pourquoi vient-elle ou vient-il ?
J’ai pris depuis longtemps l’habitude d’en supprimer les commentaires.
Non que j’aie la mauvaise habitude de censurer, je laisse volontiers exposer les désaccords, on en apprend toujours quelque chose, voire à changer d’avis, parfois, rarement à convaincre.
La raison en est « L’aspect corbeau » que revêt le commentaire quand j’ai manifestement affaire à quelqu’un qui se cache et préserve un anonymat de mauvais augure en passant par des sites comme Tor, en donnant des mails fantaisistes et invalides de sorte que toute tentative de lire un blog inexistant ou de répondre à un commentateur fantôme se solde par un échec.
Recevoir un jet de mauvais vinaigre sans savoir qui l’a envoyé est désagréable et signe à mon sens plus la pleutrerie et la volonté de nuire que la volonté de dialogue ou de discuter d’un désaccord.
Un peu comme ceux qui pensent « liberté d’expression » sur les réseaux sociaux et de fait se sentent le courage à l’abri de l’anonymat, d’insulter ou de faire preuve de racisme sans risquer un « coquard » de la part d’un « mauvais coucheur » peu apte au dialogue.
Le dernier commentaire du genre, arrivé hier soir, me faisait un reproche étrange où il était question d’obsession du sexe et d’absence de « l’esprit pur » qui devrait seul guider les actes et les pensées de votre serviteur et de sa moitié.
Oui, car il a mouillé la lumière de mes jours dans l’affaire, celui que San Antonio aurait traité de « jaloux des parties de jambes en l’air des autres ».
C’est là que m’est venue cette pensée.
Ces deux insatisfaits perpétuels de nos notes feraient-ils partie de ces frustrés permanents ?
Ceux que feu le commissaire San-Antonio, grand amateur de galipettes devant l’éternel et au vocabulaire riche et foisonnant d’images parlantes appelait, selon qu’il s’agissait de ce que masque les chapeaux « les empêchés du bulbe » ou s’il s’agissait de ce que masque les caleçons ou les culottes, « les empêchés de la chopote » ou « les coincées de la cressonnière ».
Au moins, ces empêcheurs d’écrire chiant auront eu le mérite de permettre un relâchement du langage qui a le mérite de me délasser et celui de la clarté.
Pour clore, une dernière grossièreté à leur attention : « J’emmerde les censeurs »
Sans parler de leur inaptitude à s’être aperçus que la nature, en créant les animaux et les plantes avait prévu la femelle et le mâle de chaque espèce de sorte que leur curiosité leur fasse remarquer tout ce que cette différence pouvait avoir d’intéressant.
Si ces purs esprits pouvaient enfin s’apercevoir qu’ils confondent le nombril etr le cerveau, ce serait moins pénible pour ceux qu’ils viennent agacer de leur inepties…
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