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dimanche, 14 octobre 2012

Je ne sais pas si Eugène Sue mais franchement, Ponson, tu dérailles…

C’était juste pour voir si vous suiviez.
Manifestement, lectrices chéries, vous ne faites pas très attention, obnubilées que vous êtes par le charme et le talent narratif de votre serviteur...
Vous ne repérez pas –sauf Lakevio qui a vicieusement relevé une faute de frappe et s’est malheureusement cantonnée à ça- les incohérences du récit.
Le fait qu’un type de plus de soixante ans soit encore au boulot –contrairement à plus des deux tiers des types de sa génération-, soit encore obligé de se raser deux fois par jour à un âge où la barbe est blanchie depuis un moment et soit encore soumis au contrôle d’identité au faciès ne vous semble pas le moins du monde bizarre.
Bon, quant à « mater les poulettes » c'est répandu à tout âge et être apte à dire quelques vers en espérant intéresser la « poulette » en question est à la portée du premier venu pour peu qu’il ait quitté l’école après ses douze ans.

Cela dit, lectrices chéries, j’adore que vous me fassiez confiance.
Mais franchement, à ce point, vous ne pensez pas que c’est quand même de l’aveuglement ?
Imaginez que je sois animé de mauvaises intentions, hein ?
Genre feu Claude Nougaro, prêt à tout pour « séparer en deux portions, cinquante-cinq kilos de chair rose de cinquante-cinq grammes de nylon »
Certes les intentions ne sont dites  mauvaises que quand on ne souffre pas de la solitude…
Je tiens l’information d’Heure-Bleue qui me surveille comme le lait sur le feu et me dit, quand je regarde passer un tendron « c’est pas du mouron pour ton serin » et si le tendron a quelques heures de vol, m’assène   « pfff… Il y a plein de femmes suffisamment désespérées pour se jeter au cou de n’importe quel mec ! Même toi, c’est dire… »
Du coup, comprenez-moi, quand elle me dit qu’elle m’aime, un doute m’étreint…
Il va quand même falloir que je m’attelle à cette histoire dont je suis sûr que vous l’attendez avec impatience.
Hélas pour moi, lectrices chéries, je sais aussi que vous ne l’attendez guère que pour vérifier que je suis capable de vous raconter une histoire plausible et à peu près correctement.
Mais que diable allait-il faire dans cette galère…

 

Commentaires

Mais que diable allait-il faire dans cette galère…

Ramer!

Écrit par : mab | dimanche, 14 octobre 2012

Même si tu dérailles je suivrai pour les titres.

Écrit par : mab | dimanche, 14 octobre 2012

Moi je sais, Mialjo Sue!!! punaise, tu es le premier blog que je lis depuis avant que je parte , c'est dire si tu m'as impressionné le Goût...vachement mieux de mettre un visage sur les écrit, ça n'a plus rien à voir et là ça colle parfaitement.
séparer en deux portions, cinquante-cinq kilos de chair rose de cinquante-cinq grammes de nylon » c'est dans quelle chanson?
j'ai lu tes trois autres articles, mais j'ai pas commenté, étant encore très vaseuse...d'ailleurs si c'est encore comme ça demain matin je vais consulter...mais je vais positiver...car j'ai ramené un tas de papiers à faire et à régler du Mesnil...j'en ai autant envie que de m'pendre...je te dirais aussi que je ne suis pas franchement en état de voir les fautes...aujourd'hui c'est minimum....bon dimanche.

Écrit par : mialjo | dimanche, 14 octobre 2012

les hommes ne se rasent plus lorsque leur barbe blanchit ?? je manque de repère là !

Écrit par : maevina | dimanche, 14 octobre 2012

Franchement, pourquoi tu casses la baraque ? Qu'importe les incohérences pour les abonnés des séries, polars et autres commissaires. Un type pas rasé, décoiffé, chaloupant, mateur et porté sur le beau sexe, ça séduit toujours... au moins à la TV ou sur le papier !

Bon dimanche.

Écrit par : lakevio | dimanche, 14 octobre 2012

Mialjo ... C'est dans " Les Don Juan " .... Génial , j'adore !

Écrit par : La poule sur le mur | dimanche, 14 octobre 2012

chuis comme maé, un peu perdue, c'est le récit de quoi là, depuis quelques notes ?

Écrit par : liliplume | dimanche, 14 octobre 2012

Maevina parle pour moi....(la barbe, plus de 30 ans que je la porte !)

Je regarde les poulettes et je dis à Eliane ,parfois: " un beau petit cul" et elle me répond "prends l'apéritif, mais pour le plat de résistance et le dessert, c'est à la maison!"

Dieu nous a donné la vue, c'est pour regarder , non ? Bonne soirée.

Écrit par : patriarch | dimanche, 14 octobre 2012

non, mais, Le Goût, si tu espères que je vais te lire et te critiquer ensuite ben....peut-être, mais te corriger et relever tes incohérences (si tant est qu'il y en ait!) il ne faut pas trop compter sur moi! Il faut d'abord que je balaye devant ma porte!
D'abord dans ta note précédente, où est-il écrit que MOMO a plus de 60 ans?

Écrit par : emiliacelina | dimanche, 14 octobre 2012

Quand on me raconte une histoire, je ferme les yeux et imagine. Alors un vieux de 60 ans en blouson noir qui bosse et se rase 2 fois par jour......pourquoi pas ?
D'abord, je ne lui donnais pas 60 ans à ce type.

Écrit par : berthoise | dimanche, 14 octobre 2012

Incohérence du récit. En fait on s'accroche pour suivre, c'est une piste pour 4X4.

Écrit par : seringat | dimanche, 14 octobre 2012

Les commentaires sont fermés.