mercredi, 22 janvier 2014
Le sien n'arrête pas de zapper...
Avant de me lancer, je voulais signaler à Mab à qui je dédie le titre de cette note vide de sens et Emilia-Celina que, contrairement à ce que prétend la première dans le commentaire qu’elle m’a laissé hier, ce n’est pas « ma rousse » qui a toujours le dernier mot.
C’est moi.
Bon, d’accord, c’est « Bien sûr chérie », mais quand même…
Quant à la seconde, elle se trompe.
Elle me recommande de « faire attention à TOUUUT » ce que je dis.
Or, je n’avais rien dit.
C’est ce Cubain qui avait dit quelque chose et réveillé Heure-Bleue !
Je suis tout de même prudent, je ne dis habituellement rien car ne voudrais pas qu'Heure-Bleue aille en prison pour crime passionnel.
N'oublions pas qu'à Fresnes, quand on est prisonnier on est plutôt à vingt ans qu'à une demi-heure de Paris...
Revenons à mon mouton.
Ce que je voulais vous dire, lectrices chéries, n’avait rien à voir avec cet aparté.
Rien du tout.
C’est seulement que je crois que je vais renoncer à raconter à Liliplume l’histoire du square Saint Lambert.
C’est un square dont Lili était persuadée que je ne le connaissais pas.
Alors que si, justement.
Et justement, c’est pour ça que je ne vais pas la raconter.
Parce qu'à la suite d’un revirement de dernière minute, je suis resté le bec dans l’eau.
Et que, bien que peu raisonnable, je me rends tout de même compte que, succès ou non, ces histoires sèment la perturbation dans un ménage qui n’est déjà que rarement calme.
Mais si vous voulez, je peux vous décrire les squares, le Sacré-Cœur et le square Saint-Lanbert car elle habitait rue Rosa Bonheur.
Je peux aussi vous décrire, les deux quartiers où se sont déroulés les chapitres de cette histoire prématurément interrompue, le IXème et ce coin du XVème bien triste qu’est le quartier Sèvres-Lecourbe.
Il est je pense inutile de décrire les deux filles qui constituèrent l’enjeu de cette histoire et surtout celle qui suscita mon intérêt.
Je suis comme ces amateurs de rubis monomaniaques que les autres pierres, si précieuses soient-elle, laissent froids.
Il faut aussi que je vous dise, tout ça c’est ma faute.
La conclusion en fut ce qu’on appelle un râteau de première grandeur…
Mais je m'en suis remis.
09:03 | Commentaires (6)
Commentaires
Allez raconte quand même tu en meurs d'envie.
Écrit par : mab | mercredi, 22 janvier 2014
Comme dirait Victor LeMaître de ses souvenirs d'alors : entre les pelles et les râteaux, ce sont souvent les râteaux qui gagnent !
Écrit par : lakevio | mercredi, 22 janvier 2014
Alors ! cette histoire de râteau ?
Écrit par : Brigitte | mercredi, 22 janvier 2014
toi...tu cherches encore les ennuies avec HB...disons...je crois...lol! t'as vu j'ai rattrappé mon retard dans tes articles et j'ai tout commenté! bisous!
Écrit par : mialjo | mercredi, 22 janvier 2014
Tu nous laisses sur notre faim, comme lorsqu'on te promet un beau gâteau, qu'on te le montre dans une vitrine et qu'on te dit "je t'en achèterai un, un de ces jours"..Et toi, tu restes là, le bec dans l'eau, frustrée.
Écrit par : juliette | mercredi, 22 janvier 2014
Bon j'ai loupé des épisodes encore une fois mais je suppose que tu voulais nous conter tes frasques de jeunesse, c'est mignon.... et ne me dis pas qu'Heure Bleue est jalouse de ce passé quand même, je ne le croirais pas.... quoi que......
Écrit par : Ysa | mercredi, 22 janvier 2014
Les commentaires sont fermés.