Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 14 mars 2020

30ème devoir de Lakevio du Goût.

devoir de Lakevio du Goût_30.jpg

Sur cette toile d’Aldo Balding, ces deux là font quand même une drôle de tête, même s’ils nous tournent le dos, ça se voit, ça se sent, ça se sait.
Que diable arrive-t-il ?
Faites nous part de ce que vous en pensez lundi.

Commentaires

J'aime beaucoup la peinture...

Écrit par : Ambre | samedi, 14 mars 2020

c'est la photo de couverture d'un livre de l'auteur belge Armel Job "Une femme que j'aimais"
Armel Job sort un livre tous les ans... tous pleins de suspense!
A lire donc en ces temps de confinement (du moins en Belgique)

Écrit par : Coumarine | samedi, 14 mars 2020

ah zut tu m'enlèves mon scoop de lundi ;-)
tant pis, je garde ce que j'ai écrit :-)

Écrit par : Adrienne | samedi, 14 mars 2020

Perso, en ces temps de confinement, plutôt que du suspense je préfèrerais des trucs pour rigoler!
Mais merci pour l'info, Coum
Bisous à toutes les deux

Écrit par : Ambre | dimanche, 15 mars 2020

Inspirant tableau. Très propre.

Écrit par : Val | lundi, 16 mars 2020

"C'est la photo de couverture d'un livre de l'auteur belge Armel Job "Une femme que j'aimais"
(Coumarine).

Et pourtant...
Nous nous serons retrouvés dans l'un de ces lieux qui nous font rêver, sans doute une petite maison isolée sur la dune, et nous vivrons légèrement, de presque rien, rêvant, devisant ou jouant de la musique. Une après-midi nous irons nous promener sur la plage le nez au vent, nous tenant par la main, parlant, riant... Et puis, doucement, le temps prendra sa place, le rythme s'apaisera, le paysage prendra toute sa place et nous entrerons lentement en accord avec la mer...le vent... la lumière... l'univers... Ténue, une densité particulière de l'instant nous enveloppera, et nous irons, gravement silencieux, comme savent faire les enfants...
Pour contempler, nous trouverons un creux propice de la dune où nous nous installerons en silence. La journée s'étirant, le soleil commencera doucement à passer sous les nuages gris pour inventer des couleurs et d'inimaginables ambiances de feu et d'eau. Nous serons assis sur la pente de sable, toi devant moi, abritée du vent léger entre mes jambes qui te protégeront, et tu appuieras ton dos contre ma poitrine. Mes bras entoureront les tiens dans un geste enveloppant de douce protection. Doucement poussées par le vent, tes cheveux caresseront ma joue, découvrant par moment tes oreilles délicates. Timidement, je respirerai ton odeur au creux de ton cou, où j'appuierai ma joue. Et mes lèvres... Et nous serons bien, là, à l'abri de nos chaleurs partagées. Et longtemps nous regarderons la mer, les nuages... les nuages, la mer... Le temps s'effilochera... n'existera plus... Je sentirai ta respiration soulever tes épaules et ta poitrine, et doucement mon souffle s'y accordera.... Nous respirerons à l'unisson... A l'unisson nous vivrons... Et on sera bien, là... les nuages et la mer... la mer, les nuages... et mon souffle doux dans ton cou... aérienne caresse...

Le temps s'évaporera...

C'était "Une femme que j'aimais"...

Écrit par : Candide | jeudi, 02 avril 2020

"C'est la photo de couverture d'un livre de l'auteur belge Armel Job "Une femme que j'aimais"
(Coumarine).

Et pourtant...
Nous nous serons retrouvés dans l'un de ces lieux qui nous font rêver, sans doute une petite maison isolée sur la dune, et nous vivrons légèrement, de presque rien, rêvant, devisant ou jouant de la musique. Une après-midi nous irons nous promener sur la plage le nez au vent, nous tenant par la main, parlant, riant... Et puis, doucement, le temps prendra sa place, le rythme s'apaisera, le paysage prendra toute sa place et nous entrerons lentement en accord avec la mer...le vent... la lumière... l'univers... Ténue, une densité particulière de l'instant nous enveloppera, et nous irons, gravement silencieux, comme savent faire les enfants...
Pour contempler, nous trouverons un creux propice de la dune où nous nous installerons en silence. La journée s'étirant, le soleil commencera doucement à passer sous les nuages gris pour inventer des couleurs et d'inimaginables ambiances de feu et d'eau. Nous serons assis sur la pente de sable, toi devant moi, abritée du vent léger entre mes jambes qui te protégeront, et tu appuieras ton dos contre ma poitrine. Mes bras entoureront les tiens dans un geste enveloppant de douce protection. Doucement poussées par le vent, tes cheveux caresseront ma joue, découvrant par moment tes oreilles délicates. Timidement, je respirerai ton odeur au creux de ton cou, où j'appuierai ma joue. Et mes lèvres... Et nous serons bien, là, à l'abri de nos chaleurs partagées. Et longtemps nous regarderons la mer, les nuages... les nuages, la mer... Le temps s'effilochera... n'existera plus... Je sentirai ta respiration soulever tes épaules et ta poitrine, et doucement mon souffle s'y accordera.... Nous respirerons à l'unisson... A l'unisson nous vivrons... Et on sera bien, là... les nuages et la mer... la mer, les nuages... et mon souffle doux dans ton cou... aérienne caresse...

Le temps s'évaporera...

C'était "Une femme que j'aimais"...

Écrit par : Candide | samedi, 04 avril 2020

J'avais lu ta note (du début de l'année il me semble.)

Écrit par : le-gout-des-autres | samedi, 04 avril 2020

Les commentaires sont fermés.