vendredi, 07 mai 2021
80ème Devoir de Lakevio du Goût
Mr Caillebotte n’a pas peint que le pont de l’Europe, la gare Saint Lazare, des « racleurs de parquet » ou les trottoirs parisiens.
Non, il a peint aussi de la verdure.
Et pas que celle de sa propriété d’Yerres.
Je vous soumets cette toile qui me prouve que là où je me suis promené il y a peu était beaucoup plus touffu il y a 150 ans qu’aujourd’hui.
Les bancs n’ont cependant pas changé.
Que vous dit cette toile ?
Un souvenir de parc bien loin de celui-ci apparaît dans ma cervelle noyée dans son habituel « cafouillon » matinal...
09:22 | Commentaires (8)
Commentaires
Parc monceau? Ou le Luxembourg?
Écrit par : Do | vendredi, 07 mai 2021
Au fait, emmènerez_vous "Petite Soeur" au Parc Luther King ?
Écrit par : Nina | vendredi, 07 mai 2021
Nous l'avons déjà emmenée et on n'aime pas le parc Martin Luther King.
Elle préfère le square des Batignolles ou le parc Monceau et nous aussi.
Écrit par : le-gout-des-autres | vendredi, 07 mai 2021
Ben...très franchement, ça ne m'inspire...rien.
Je crois que je vais attendre la semaine prochaine...:-)
Écrit par : La Licorne | vendredi, 07 mai 2021
me too, comme on dit de nos jours ;-)
Écrit par : Adrienne | samedi, 08 mai 2021
mon devoir est fait, s'il est permis de parler d'autre chose que de Caillebotte ou de Paris ;-)
ça parle de cheveux
Écrit par : Adrienne | dimanche, 09 mai 2021
Mais tu parles de ce que tu veux !
Ce n'est pas un devoir de philo, il n'y a pas de "hors sujet" !
Écrit par : le-gout-des-autres | dimanche, 09 mai 2021
Rien écrit cette seamine...
Alors, pour me faire pardonner, un petit poème de circonstance :
Dans le parc …
Albert Samain
Dans le parc aux lointains voilés de brume, sous
Les grands arbres d’où tombe avec un bruit très doux
L’adieu des feuilles d’or parmi la solitude,
Sous le ciel pâlissant comme de lassitude,
Nous irons, si tu veux, jusqu’au soir, à pas lents,
Bercer l’été qui meurt dans nos coeurs indolents.
Nous marcherons parmi les muettes allées ;
Et cet amer parfum qu’ont les herbes foulées,
Et ce silence, et ce grand charme langoureux
Que verse en nous l’automne exquis et douloureux
Et qui sort des jardins, des bois, des eaux, des arbres
Et des parterres nus où grelottent les marbres,
Baignera doucement notre âme tout un jour,
Comme un mouchoir ancien qui sent encor l’amour.
....
Il faut bien sûr replacer le tout...
au printemps...
je compte sur votre imagination... :-)
Écrit par : La Licorne | lundi, 10 mai 2021
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