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jeudi, 17 mars 2022

Ô Porto ! Ô low cost...

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Nous avons des invités ce midi.
Ils viennent déjeuner avec nous.
Ces deux invités ?
Un ami qui, comme votre Goût préféré est d’ascendance « pied-noir ».
Une amie de Tornade mais, alors que Tornade aime le Gewurztraminer « Vendanges tardives », cette amie est amatrice de Porto.
Pour l’occasion, l’ami et moi nous sommes lancés dans la confection d’un couscous.
Je me suis chargé de l’épluchage et de la cuisson des légumes.
Il s’est chargé de la coupe et de la cuisson des viandes.
Heure-Bleue s’est chargée de la cérémonie dite « Apéro ».
Nous avons donc acheté du Porto.
Du même négociant que précédemment.
Et c’est là que j’ai appris quelque chose que je ne soupçonnais même pas.
Et vous non plus je suppose, lectrices chéries.
Maintenant j’ai peur.
Deux options sont possibles :
- À mon insu, l’Ukraine est devenu un pays producteur de Porto.
- Pire, il est possible que le Porto soit mélangé avec du gazole pour ajouter cette petite touche de luxe si appréciée du « Bobo ».
Ce qui non seulement donnerait à ce vin, réputé pour sa douceur, un goût épouvantable.
Le résultat lui, est immédiat.
Le Porto que nous achetons a augmenté de 26% en vingt jours.
Je vais devoir convaincre ma moitié et notre amie de se jeter sur le Romanée Conti sous peu, histoire de faire quelques économies…