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mardi, 09 juin 2015

Lettres et le néant.

Vous savez quoi, lectrices chéries ?
Je voulais écrire une de ces notes désopilantes qui, de proche en proche vous aurait attirées par milliers sur mon blog, faisant exploser les statistiques et amenant les media à se demander qui pouvait bien être ce trublion de génie qui détournait de leurs journaux, radios et téléviseurs leurs lecteurs, auditeurs et téléspectateurs habituels.
Bon, j’en étais là de mes élucubrations, ce matin même, quand je me suis aperçu que je n’avais rien à vous dire.
Rien d’intéressant, en tout cas.
J’aurais pu, comme n’importe quel ministre, tartiner longuement sur rien.
Mais non.
Bon, voilà, Heure-Bleue et moi avons quand même fait quelque chose.
Nous sommes descendus acheter du melon et des tomates.
Oui, lectrices chéries ! On a fait ça.
Bon, ça paraît simple et sans intérêt mais c’est seulement parce que vous ne savez pas l’essentiel.
Oui, on a aussi acheté du jambon.
Ça vous la coupe, hein ?
A part ça, je ne vois rien de particulier à vous raconter.
Je me rends brusquement compte que ce morceau d’anthologie de la vacuité « fait » tout de même pile deux cents mots.
Dixit Word soi-même…
C’est dingue, non, lectrices chéries ?