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mercredi, 25 octobre 2017

Guerre d’épris…

Après un bref passage chez « Bidouillorama » car il manque toujours un petit quelque-chose, nous sommes allés nous faire regarder de travers par une serveuse.
Le café était bon.
La serveuse était vulgaire.
Peut-être qu’Heure-Bleue, dont « les yeux parlent » n’aurait pas dû laisser transparaître son mépris.
D’ailleurs, je me demande encore pourquoi elle accepte de moi des choses qu’elle ne supporterait de personne.
L’habitude sans doute…
J’ai été un instant ému en passant le pont sur le cimetière de Montmartre.
Oui, il y a des lieux comme ça, qui me font de l’effet.
Mais si, vous savez bien lectrices chéries, ces moments et ces endroits où on est sujet à des « bouffées d’automne »…
Nous sommes ensuite revenus à pied en passant par la rue Damrémont qui exerce une attraction étrange sur la lumière de mes jours.
Ce n’est pas la première fois que nous nous disons en voyant l’immeuble de l’angle des rues Steinlen et Damrémont « Pfff… Je tuerais pour avoir tout le deuxième étage ! »
Nous avons continué notre chemin, intéressé chacun par des choses différentes.
Comme souvent, j’ai eu l’attention attirée par une chose que peu remarquent.
Quelqu’un avait écrit sur un mur, un court… Non, ce n’est pas un poème.
C’est seulement la réflexion d’un garçon qui semble avoir, comme tous les amoureux, des problèmes avec la notion d’exclusivité ou la jalousie ou la souffrance, bref, une histoire d’amour…

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J’aurais préféré que l’auteur soit moins fâché avec l’orthographe mais on n’a pas toujours du caviar…
Bon, on va dire qu’il avait un coup dans le nez parce qu’il venait de se faire jeter.