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samedi, 11 février 2023

Rencontre agréable.

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Nous avons vu une blogueuse et son petit camarade de jeux.
Je dis « petit » mais il est grand, plus exactement plus grand que moi.
Je dois le dire, il a de la veine d’être plus fort que moi, sinon… Hein…
Nous les avions déjà rencontrés il y a trois ans et fûmes, du moins la lumière de mes jours et moi, ravis de les revoir.
Je dois aussi vous avouer que Célestine a des yeux magnifiques.
Aussi chouettes que ceux d’Heure-Bleue.
Après un dessert qui a passé cinq minutes sur la langue avant de passer ses prochaines années sur nos hanches, nous sommes tous tombés d’accord sur un point délicat.
Point délicat en ce sens qu’il montre bien que nous ne sommes plus des « perdreaux de l’année »…
Le point délicat est délicat mais je l’aborde tout de même.
Nous avons tous quatre en commun, outre le fait que si un matin nous n’avons mal nulle part, c’est que nous sommes morts, la similitude du langage du début et de la fin de journée.
Le soir, regardant avec amour la personne qui a partagé notre vie de ce jour, juste avant de nous endormir, nous nous tournons et avons un dernier mot.
Le matin, regardant avec amour la personne qui va partager cette nouvelle journée, nous avons un premier mot.
Et c’est là que nous sommes tous quatre tombés d’accord.
Le même mot nous est venu aux lèvres.
Avant de nous endormir et en nous réveillant, nous disons « Aïe ! »
Et nous sommes d’accord sur un fait biologique désormais indubitable : Un vieux, c’est juste un jeune qui a mal partout…