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vendredi, 09 février 2024

185ème Devoir de Lakevio du Goût.

Fragonard,_La balançoire.jpg

Avez-vous eu la chance mâtinée de curiosité de visiter la « Wallace Collection » à Londres ?
Non ?
Quel dommage !
Vous y auriez vu des tas de choses intéressantes, de celles qui auraient fait les choux gras de la « presse people » britannique si elle avait existé à l’époque où les œuvres exposées furent peintes, sculptées ou fabriquées.
Évidemment on y voit les atours dont se vêtaient les seigneurs pour montrer au peuple qui mourait sous leurs bannières, des armures enluminées de façon à glorifier la victoire en « attifant » le chef de vêtements de tôle pleine de dorures.
On y voit aussi les maîtresses qui occupaient souverains, ducs et marquis pendant les sombres après-midis d’hiver en leurs domaines.
J’y ai quant à moi repéré une œuvre française qui en dit long sur ce qui tracasse aussi bien l’aristocrate anglais que le journalier français.
Cette toile dite « Les Hasards heureux de l’Escarpolette » de Mr Fragonard, le genre de hasard qui le conduira probablement à peindre quelques années plus tard « Le verrou » qui montre où peut mener l’escarpolette.
Mais vous ?
Un récit vous serait-il inspiré par ces « hasards de l’escarpolette » ?
Nous verrons bien lundi si une histoire ou une anecdote vous est venue…

Commentaires

Définition de mots croisés pour' Escarpolette' : Poussait l'ingénue à s'envoyer en l'air.

Écrit par : Nina | vendredi, 09 février 2024

Bon, on va essayer de tenter quelque chose avec ce Fragonard rococo

Écrit par : alainx | vendredi, 09 février 2024

Il m’a fallu attendre mes quinze ans ou plus avant que je n’entende ce mot inconnu : escarpolette.
Dans ma lointaine enfance, mon papa m’avait bricolé sous l’auvent de notre cour familiale quelque chose qu’e l’on appelait « balançoire » et qui faisait le bonheur des galopins du quartier quand j’acceptais de laisser ma place.
La dernière fois que je me suis assise sur « a seesaw » c’était à Central Park au cœur de New-York et ce ne fut pas une mince affaire. Jugez-en : les sièges étaient si hauts qu’une fois qu’on avait réussi à la force des bras à placer son séant, même les pieds des plus grands d’entre nous ne touchaient plus terre. Ce fut donc un challenge pour chacun d’entre nous de se hisser sur le siège avant de réussir à amorcer un début de balancement sans l’aide de quiconque. Le ridicule n’a jamais tué personne, sinon la dernière heure des quelques Frenchies sexagénaires présents et hilares qui se tortillaient étrangement aurait sonné !



Le damoiseau de la toile est un libertin, car il se garde bien de se tenir derrière la demoiselle, qui elle-même laisse sciemment ses jambes ouvertes afin d’offrir à son admirateur le meilleur angle de vue sur son intimité…


Ne tirons pas trop tôt de plans sur la comète : ces deux -là vont s’offrir avant peu une séance de bon temps et leurs servantes respectives mais complices n’auront aucun doute sur la nature des traces de boue qu’elles devront faire disparaître avant la prochaine promenade champêtre.

Écrit par : Gwen | dimanche, 11 février 2024

Ah oui, hâtons nous de pousser l'escarpolette tant que nous sommes jeunes et ingambes...

Écrit par : Célestine | dimanche, 11 février 2024

Car les dangers de l'escarre, Paulette, qui les dira ?
 •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

Écrit par : Célestine | dimanche, 11 février 2024

j'avais 16 ans,c'était le premier spectacle au théatre d'agen,l'operette veronique.plus tard ,un cousin est devenu collectionneur et amateur de ces scènes d'amours galantes et récitai t des strophes entières sur ce thème.amusant.

Écrit par : christiane | lundi, 19 février 2024

Les commentaires sont fermés.