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dimanche, 02 septembre 2018

Les clans psy, c'est comme les maladroits, ça fait mal aux sains...

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Ouais, bon, je sais mais l’automne arrive alors hein ...
Je me suis levé avec une question lancinante à l’esprit.
Que vais-je donc pouvoir raconter à mes lectrices chéries ?
Que vais-je bien pouvoir raconter sans ratiociner ?
J’ai cherché quelques sujets, quelque chose à écrire,  histoire de me plier à cette foutue discipline indispensable si on veut éviter la rouille neuronale, pourtant inévitable.
Alors j’ai battu le rappel de quelques idées…

Vagues réflexions sur la politique :                    Fait.

Récit d’amours de jeunesse :                              Fait.
Journées avec Merveille et P’tite Sœur :            Fait.
Saynètes avec Heure-Bleue :                              Fait.
Confidences de Merveille :                                 Fait.
Pérégrinations parisiennes :                                Fait.
Choses vues et entendues dans le bus :              Fait.
Accès brutaux d’humeurs élégiaques :               Fait.

Du coup, je me demande de quoi je vais pouvoir vous parler, lectrices chéries.
Déjà, ce matin je savais avant d’ouvrir l’œil que ça allait déconner.
Oui, vous savez bien lectrices chéries, ce moment bizarre où la cervelle s’ouvre avant les yeux.
Enfin, pour être plus précis, l’œil.
Le gauche.
Donc, sorties du rêve pour arriver au jour sont arrivées quelques unes de ces pensées décousues qui font que la lumière de mes jours est, soit persuadée qu’elle a bien fait de se marier avec ce type extra, soit qu’elle a eu la malchance de tomber sur un cinglé…
Ça, c’est le plus courant.
Juste avant l’ouverture de l’œil donc, je me suis posé une question bête, au risque de démarrer la journée par une migraine carabinée.
C’était une pensée du genre « sachant que pour ce que j’ai vu jusqu’à présent, la relation de cause à effet s’est vérifiée… »
Là mon œil s’est ouvert et je me suis dit « mais alors, quelle est la cause qui a entraîné l’apparition du temps ? »
Pas le temps qu’il fait lectrices chéries, non.

Le temps qui passe.
Il se comporte comme un imbécile avec un stylo qui se dépêche d’écrire avant de ne plus avoir d’encre.
Ce temps qui, au fur et à mesure qu’il passe s’écoule de plus en plus vite.
Au lieu de prendre son temps pour qu’on en profite le plus possible, plus il se dépêche.
Pourtant, n'importe laquelle de mes lectrices chéries le sait, plus c'est court, plus c'est rapide et plus c’est rapide, moins c’est satisfaisant.
Sauf s’il s’agit de l’arrivée d’un cadeau évidemment.