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mardi, 13 septembre 2016

Ces jours où l’époux bêle…

De rien, Mab…

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Lectrices chéries, plein de l’humeur de septembre qui rend un rien guimauve n’importe qui, surtout moi, j’allais me lancer dans un racontar de grandes amours.
Puis je me suis rappelé que ça fait des histoires.
Alors je vais plutôt vous parler d’un sujet qui nous tient à cœur, toutes et tous.
Le sac poubelle.
Bon, c’est un peu moins romantique que ces histoires de cœur qui sont surtout des histoires dont la principale victime est le palpitant mais tellement plus vrai.
Eh oui, on n’a pas toujours sous la main un grand amour qui n’attend que vos soins.
En revanche, on souvent dans la main des trucs qui attendent d’être jetés.
Hier, justement, je suis descendu acheter quelques denrées dont j’espérais qu’elles tenteraient la lumière de mes jours.
Du moins qu’elles la tenteraient plus que moi qui ne suis plus de première fraîcheur…
Après avoir fait mes emplettes, je me suis trouvé tout bête.
Évitez de souffler « pas étonnant » devant votre écran, lectrices chéries, je vous entends penser…
Tout bête donc, faute de sac où mettre mes achats.
L’Indienne charmante dite « hôtesse de caisse » m’a proposé « vous voulez un sac ? C’est dix cents. »
C’est là que m’est revenu un détail.
Il y a quelques jours, j’ai acheté des sacs poubelle, je me suis donc précipité pour vérifier.
Et j’ai pris une décision.
Ouais lectrices chéries !
J’ai fait ça !
J’ai pris une décision !
Vous savez quoi ?
Je n’achèterai plus de sacs poubelle.
J’ai constaté avec stupeur qu’un rouleau de quinze sacs à anse me coûte 4,22 €.
J’ai constaté que pour la somme de 4,20 €, j’ai quarante-deux sacs de même capacité, autrement solides et surtout, avec des anses !
Oui, que je vous dise, nous avons acheté une fois un poubelle, une vraie, chromée et tout.
Un soir j’ai oublié le seau intérieur en bas.
Le lendemain il avait disparu.
Je crois qu’on en a racheté une mais elle fut perdue ou donnée, je ne sais quoi.
D’où le « sac poubelle à anses ».
Celui à dix cents convient très bien et est bien plus solide que ces sacs gris, fins, laids et chers.
Voilà qui est autrement passionnant que l’histoire d’un grand amour, non ?