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mardi, 03 janvier 2017

Avec le temps, va, tousse et va…

De rien, Mab...
Ce matin il fait un « temps de mince »
Un brouillard qui m’empêche même de voir s’il reste des branches sur les arbres que je devine de ma fenêtre car il n’est pas question de les voir.
Ni même les entrevoir.
Un brouillard qui n’a comme avantage que celui de développer des abdos qui en avaient bien besoin.
Je dois même vous avouer que je commence à être « fatigué des entrecôtes » comme disait mon père qui toussait beaucoup.
Ce temps me troue le moral.
Je hais le froid.
Qu’il soit sec avec un ciel bleu et lumineux.
Qu’il soit humide avec un ciel qu’on ne voit pas tant le brouillard est épais.
Chaque année, dès que les jours se font brefs et froids, j’attends.
Mon moral remonte un peu avant Noël car les jours grappillent des minutes.
Hélas, ce sont des minutes de gris.
Alors j’attends.
J’attends le printemps.
J’attends que la lumière devienne gaie.
J’attends que les arbres se couvrent.
J’attends que les filles se découvrent.
J’attends de n’avoir pas besoin de mille pelures pour ne pas transir.
C’est quand il fait le temps d’aujourd’hui que j’ai envie de voyager dans le temps.
Rien que pour voyager vers le beau temps, lectrices chéries.
Rien que pour ça…Ce matin il fait un « temps de mince »
Un brouillard qui m’empêche même de voir s’il reste des branches sur les arbres que je devine de ma fenêtre car il n’est pas question de les voir.
Ni même les entrevoir.
Un brouillard qui n’a comme avantage que celui de développer des abdos qui en avaient bien besoin.
Je dois même vous avouer que je commence à être « fatigué des entrecôtes » comme disait mon père qui toussait beaucoup.
Ce temps me troue le moral.
Je hais le froid.
Qu’il soit sec avec un ciel bleu et lumineux.
Qu’il soit humide avec un ciel qu’on ne voit pas tant le brouillard est épais.
Chaque année, dès que les jours se font brefs et froids, j’attends.
Mon moral remonte un peu avant Noël car les jours grappillent des minutes.
Hélas, ce sont des minutes de gris.
Alors j’attends.
J’attends le printemps.
J’attends que la lumière devienne gaie.
J’attends que les arbres se couvrent.
J’attends que les filles se découvrent.
J’attends de n’avoir pas besoin de mille pelures pour ne pas transir.
C’est quand il fait le temps d’aujourd’hui que j’ai envie de voyager dans le temps.
Rien que pour voyager vers le beau temps, lectrices chéries.
Rien que pour ça…