jeudi, 12 mars 2015
Socialisme ? Le coût de sans…
Comme je ne vous l’avais pas dit, hier nous sommes retournés à Paris.
Pas du tourisme, non, de l’utilitaire. Enfin presque.
Il nous fallait aller chez le médecin.
Une ordonnance simple à renouveler pour votre serviteur.
Un simple additif alimentaire à prendre en gélule, intéressant pour sa propriété à augmenter le pH de l’organisme.
Il reste que c’est un truc à creuser le fond du trou de la sécu parce que ce produit noté E330, à moins de deux €uros le kilo est facturé près de quatre cents €uros le kilo chez l’apothicaire…
Pour Heure-Bleue, le boulot était un peu plus difficile qui consistait à faire avaler une pilule au médecin.
Elle a réussi.
Du coup, nous sommes sortis guillerets de chez l’homme de l’art.
Nous nous sommes arrêtés prendre un café qui fut bien agréable et avons remonté la rue du Temple jusqu’à la rue Rambuteau.
Le pain, les éclairs au caramel chez « le bon boulanger », le vin chez Nicolas et nous avons continué jusqu’à l’arrêt du 29.
Quand nous sommes arrivés au carrefour des rues Beaubourg et Michel Lecomte j’ai regardé dans la rue Michel Lecomte.
On ne voyait plus les fenêtres de l’appartement de ma mère…
Une fois traversée la rue Beaubourg, j’ai quand même pris une photo pour que vous, lectrices chéries, voyiez le coin où j’ai passé une grande partie de ma vie.
C’était beaucoup plus noir dans les années soixante qu’aujourd’hui…
Le 29 est arrivé.
Comme souvent, il ne finissait pas normalement, nous avons attendu place des Victoires le 29 suivant.
Passionnant, non ?
Il vous faut néanmoins savoir, lectrices chéries que, bien qu’étant arrivés dans notre exil vers dix-huit heures trente, nous avons débattu de politique avec des militants qui non seulement étaient socialistes mais de gauche.
Ne ricanez pas lectrices chéries, ce n’est pas d’une évidence folle ces temps-ci.
Ça nous a pris près d’une heure.
Il fut même possible de faire avouer au candidat titulaire qu’il n’était pas aisé de faire avaler à l’électeur que François Hollande était socialiste.
A la fin, nous étions plus de sept à tenir meeting.
A défaut d’avoir une activité socialiste efficace, nous avons au moins une activité sociale vivace…
10:17 | Commentaires (8)
mardi, 10 mars 2015
Les obsèques, ça fait mal…
Je vais recommander à Heure-Bleue de se retenir qui, comme toutes les femmes y passe un temps fou.
Peu chaque fois mais souvent.
Ces trop nombreux épisodes coûtent un blé monstre !
Je vais quant à moi renoncer à aller aux toilettes.
Pourquoi cette diatribe ?
Rappelez vous, lectrices chéries, cet épisode douloureux, autant pour notre intimité que pour notre porte-monnaie, du PQ écolo.
Cette dramatique étape dans une vie intestinale par ailleurs satisfaisante avait au moins permis de trouver une explication rationnelle à l’air constipé de beaucoup de leaders de mouvements écologistes.
Il en était ressorti que le papier prôné par ces gens qui ne s’en servaient jamais, s’il avait une évidente qualité de légèreté avait l’inconvénient de rappeler la toile émeri quant au confort.
Je frissonne à l’idée d’Heure-Bleue l’utilisant « là ».
Il avait aussi un autre inconvénient en terme de prix. Vicieux celui là.
Il était si mince qu’il en fallait quatre fois plus qu’habituellement mais, coûtant le même prix que celui qui donne l’impression d’utiliser de la flanelle, et durait du coup quatre fois moins longtemps.
Je vous laisse imaginer le surcoût des effets secondaires d’un repas d’anniversaire…
Revenons à l’objet de cette note, lectrices chéries.
Aujourd’hui, la lumière de mes jours et moi sommes sortis, histoire de faire quelques kilomètres avec un but pas débile.
Nous avons profité du dépôt dans la poubelle du petit rouleau censément soluble dans les toilettes, ce que nie Heure-Bleue qui ne croit en rien, pour aller acheter du PQ.
Et vous savez quoi, lectrices chéries ?
Eh bien le paquet de quatre rouleaux de PQ nous a coûté 54,15 € au Monop’ !
Ouaip ! 54,15 € !
Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais au Monop’, le PQ est exorbitant.
Bon, ce n’est pas tout à fait vrai.
Le problème, c’est qu’avant d’arriver au rayon du PQ, il nous faut passer devant des étagères où on va voir des choses terribles comme le cou de canard farci, du saumon bio irlandais, du beurre Bordier, des trucs comme ça.
En plus, pour arriver aux caisses, on passe devant les livres.
Et là c’est le drame.
Je me demande si, une fois lus, on ne devrait utiliser les livres à la place du papier toilette.
Au moins le retour sur investissement ne serait pas que négatif…
Oh ! Heure-Bleue a bien tenté de faire des économies. Le PQ lui-même était d’un prix modique.
Hélas, les faux-frais se sont révélés redoutablement vrais-frais.
Le PQ Monop’ se solde à ce résultat désolant mais attendu : 54,15 €.
Voilà, lectrices chéries à quoi j’ai abouti : 54,15 € !
Le PQ le plus cher du monde !
Tout aurait pu se dérouler le mieux du monde si nous n’avions pas regardé les infos.
Le PQ était sorti de nos esprits quand un type du gouvernement est passé sur l’écran.
Heure-Bleue a dit :
- Il est ridicule ! Je déteste lcs mecs qui se teignent les cheveux !
Je me suis contenté d’un :
- Je ne me teins pas le cheveux mais je suis quand même moins brun…
Gentille, elle m’a répondu :
- Mais si mais si Minou, tu es toujours très brun, je t’assure.
J’ai failli me rengorger.
Malheureusement, elle a ajouté :
- Bon, d’accord, je ne vois plus très clair…
08:30 | Commentaires (14)
lundi, 09 mars 2015
La coupe des vices.
Se coucher tard, nuit. **
J’ai gagné, Mab !
** Raymond Devos.
08:34 | Commentaires (5)
dimanche, 08 mars 2015
Au lit mon corps y dort
Aujourd’hui il fait un temps splendide.
J’ai trop mangé hier soir mais ça devrait s’arranger.
Je me demande si je vais finir mon livre aujourd’hui.
Signé : Mab
En réalité, je n'ai pas de cerveau depuis que j'ai ouvert un œil.
(Pas la peine de dire « seulement depuis ce matin ? », je vous ai entendu penser, lectrices chéries, mal réveillé mais pas sourd…)
09:54 | Commentaires (5)
samedi, 07 mars 2015
L'adroite a de belles courbes...
Madila a cru bon de me « tagger » et n’a pas vérifié sa liste. Pfff…
Je ne poserai pas onze questions à mes lectrices chéries.
Je serais bien trop indiscret et comme je tiens à ne me fâcher avec aucune, les autres « taggées » n’ont qu’à le faire à ma place.
- Leur poser 11 questions farfelues :
- 1 - Quel avantage vois-tu à manger du lapin ?
C’est moins emmerdant à attraper qu’un poisson. - 2 - Quel est le premier pays étranger où tu as posé les pieds ?
La France. Ben oui, avant je n’étais pas né. - 3 - à quelle date se situe ton rendez-vous le plus lointain ?
Dans le passé ou l’avenir ? - 4 - qui pourrais te donner des cauchemars ?
Mireille Mathieu si elle se remettait à chanter. - 5 - si tu as (ou avais) un jardin, y-a-t-il une espèce de fleurs que tu ne plantera jamais ?
L’asphodèle, ça pousse à foison dans l’enfer grec. - 6 - si je t'annonçais qu'une étude a prouvé que rien ne fait grossir, vers quel aliment te précipiterais-tu aussitôt ?
Le chocolat. - 7 - quel est le titre du premier vrai livre (pas un album) que tu as lu enfant ?
L’Ours brun.
Celui là même :
- 8 - quelle épice utilises-tu le plus et dans quels plats ?
Le poivre, dans tous sauf les gâteaux. - 9 - quel lien familial as-tu avec le dernier-né de ta famille ?
C’est ma seconde petite fille (P’Tite Sœur) - 10 - quelle couleur utiliserais-tu s'il te fallait repeindre ta cuisine ?
Blanc.
Où est la onzième question farfelue ?
08:17 | Commentaires (11)