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jeudi, 23 avril 2015

Que ceux qui sont cléments adhèrent.

De rien Mab, de rien…
On a trouvé un truc pour faire des économies, Heure-Bleue et moi.
Ça devait nous permettre d’atteindre la fin de l’année autrement qu’en volant des légumes sur les étalages des marchés.
Entreprise au succès d’autant plus douteux que nous sommes maladroits, honnêtes et surtout nous ne courons plus assez vite pour échapper à la hargne du marchand…
Donc, pour entamer cette histoire d’économies on n’est pas allé au Monop’.
On a décidé d’être sérieux et on a pris le train.
On est descendu à Clichy-Levallois pour aller dans un nouveau centre commercial.
Bon, honnêtement le bénéfice fut assez moyen.
Nous ne sommes pas allés chez celui qui prétend que « vous savez que chez moi vous achetez moins cher » alors que c’est même pas vrai.
Enfin si, mais c’est seulement parce qu’on n’y trouve pas ce que l’on veut acheter, seulement ce qu’il veut nous vendre, il n’achète pas un produit, il achète une marge.
Nous avons opté pour une autre enseigne, forts de notre expérience du côté misérable des talents culinaires de la « perfide Albion ».
Nous avons été lésés. Avec un grand « B ».
Oh ça, pour ce qui est de la cuisine, on ne risquait pas grand-chose.
En revanche, pour ce qui est de tous ces petits machins qui ne demandent qu’à faire exploser les balances et nos pantalons, ils sont champions.
Heure-Bleue a commencé à l’étage des articles de maison, d’abord devant un coussin « typical british », en réalité « kitschissime ».
Mon dieu quelle horreur ! Heureusement, Heure-Bleue s’est ravisée, l’idée d’avoir ce machin sous les yeux en regardant la banquette m’a fait cauchemarder. Nous nous sommes alors contenté d’un café au « M & S Café ».
La lumière de mes jours s’est montrée extrêmement satisfaite de son déca.
En revanche, seuls les restes d’une éducation modèle « fifties mâtinée XIXème siècle » m’ont évité de cracher un express censément « serré » sur le carrelage.
User d’une machine italienne haut de gamme pour aboutir à cette lavasse est proprement scandaleux…
Nous sommes descendus au rez-de-chaussée appelé « Food Hall », ce qui montre bien que tout le monde se fout de la loi Toubon.
Là, nous avons tourné comme des gamins affolés dans une boutique de jouets.
Nous avons résisté à la tentation de ces trucs, petits mais délicieux et surtout effroyablement caloriques.
Rien qu’à regarder les scones et les muffins j’ai senti la ceinture de mon pantalon se tendre et me serrer.
En regardant les petites saletés épicées et grasses, j’ai cru entendre mon cœur se rebiffer et mes artères se boucher.
Hydrogénées ou pas, de palme ou d’olive, pas à dire, les lipides restent des ennemis impitoyables de la ligne Twiggy.
Vous vous souvenez de Twiggy, lectrices chéries ?
Mais si, voyons, ce mannequin des sixties dont les mauvaises langues disaient qu’elle rayait les baignoires en faisant sa toilette.
Nous avons tout de même été sages. Nous nous sommes contentés des filets de poulets, d’un pain délicieux et pas british du tout, de deux scones, des crevettes et une sauce pimentée.
Avouez qu’on est quand même désespérément raisonnables, non ?

mercredi, 22 avril 2015

Et le castor rama…

La « séquence repassage » d’Heure-Bleue est une source de notes quasiment inépuisable.
Pour deux raisons.
La première est que nous serons morts et enterrés avant que ma dernière chemise ou son dernier corsage soit enfin sorti du panier de linge à repasser.
La seconde est qu’Heure-Bleue ne peut repasser sans regarder une série sur notre moribond téléviseur.
L’attention que porte la lumière de mes jours aux épisodes est suffisamment soutenue pour expliquer que le panier se vide aussi lentement que les listes de Pôle Emploi.
La durée de la séquence ainsi que son heure d’occurrence corroborent parfaitement le théorème dit « panier des Danaïdes inversé » qui démontre si bien la pérennité du panier plein.
La durée est calibrée de façon, comment dire. Flottante…
Oui, c’est cela, flottante. Le « calibre flottant », oxymore Heure-Bleuesque pleine peau est la règle car la lumière de mes jour est une spécialiste de « la précision aléatoire ».
Il est censément de durée constante. Deux épisodes de vingt-quatre minutes de la série choisie.
La productivité est proche de celle de ceux qui la prônent du côté de nozélites. Autant dire discutable.
Le repassage est plein d’embûches aussi efficaces que le code du travail selon le MEDEF. D’abord le choix de la pièce à repasser.
N’allez pas croire, lectrices chéries, qu’il suffit de prendre la chemise ou la taie du dessus du panier.
Non, rien d’aussi simple.
Pendant qu’Heure-Bleue, l’œil fixé sur l’écran, attend la fin du plan qui la passionne, le fer passe et repasse sur le vêtement.
La fin du plan arrive enfin, je m’attends toujours à ce qu’une main délicate attrape la pièce suivante mais non.
La main fouine et cherche selon on ne sait quels critères un nouveau vêtement à mettre sur la planche.
Pendant ce temps, un autre évènement a pris l’habitude de chambouler la séance de repassage. L’heure.
Elle aussi est flottante quant au début de la « séquence repassage ».
Si elle arrive à dix-neuf heures, l’heure où je me mets à la préparation du dîner, d’autres embûches se dressent contre le vidage du panier.
D’abord nous papotons de tas de sujets. Le principal étant la primauté du bulletin d’infos de France-Inter sur l’épisode suivant de la série.
Je perds chaque fois…
Puis, l’approche du dîner induit la « petite faim apéritive ».
Je distrais quelques instants de la préparation du dîner pour faire griller une tranche de pain pour chacun de nous, tranche qui sera agrémentée d’un peu de tarama, ce petit bidule crémeux si mauvais pour ce qu’on a.
La tartine est souvent agrémentée d’un petit verre de vin, un verre à porto certes, mais tout cela nuit gravement au rendement fer à repasser. La crainte de laisser une goutte de vin sur la chemise ou une trace de tarama sur un corsage ou un pull tue dans l’œuf toute velléité de repassage.
La lumière de mes jours ira néanmoins jusqu’à la fin du second épisode de « Sex & the City », de « Cosby show » ou de « Friends ».
L’épisode arrivant car la durée d’icelui concorde toujours, de façon quasiment magique, avec l’heure du journal de France 2 et du début du dîner.
Nous ne les regardons qu’à peine car c’est le moment où commence la discussion animée du repas. Oui lectrices chéries, nous parlons en mangeant et même nous avons des fou-rires.
Et le linge à repasser ?
Eh bien… Un jour, peut-être…

lundi, 20 avril 2015

Tant qu’il y aura des gnomes…

Je ne sais pas ce que vous en pensez, lectrices chéries, mais si, au lieu de voter pour des gens qui se prétendent « grands hommes » d’avance, nous nous décidions pour une fois pour des hommes grands ?
Je suis, depuis que Chirac et Giscard ont raccroché les gants, exaspéré.
L’un était un bandit, mais plutôt sympathique comparé aux autres.
L’autre avait l'air d’avoir avalé un balai mais ne semblait pas vouloir « casser la gueule » de ceux qui n'étaient pas d'accord.
Aucun n’avait sans cesse à préciser « Ne venez pas me chercher des crosses ! » car il ne serait venu à l’idée de personne de leur chercher noise. Ça donnait à l’un l’allure décontractée du type qui n’a pas de comptes à régler avec le monde entier.
L’autre n’avait pas l’air du type à qui on tape sur le ventre.
J’ai vu passer à la tête du pays, que ce soit dans les ministères ou à l’Élysée, des hordes d’avortons hargneux qui nous la jouent à coups de menton volontaires.
Apparemment ils nous expliquent que tout va s’arranger en savatant les uns, fichant les autres,  incarcérant à tout va, en mettant tous ces fainéants de chômeurs au boulot à coups de botte dans le fondement.
Je les vois, depuis le petit écran, nous jeter des regards mauvais, surtout le petit dernier qui a cru à tort ce « Il grandira car il est Espagnol ». Il s’est sûrement senti floué deux fois, une fois par la nature, une fois par Henri Meilhac dans « La Périchole »...
Tous assortissant leurs propos de menaces à peine voilées envers ceux tentés de ne pas filer droit, c'est-à-dire ne pas filer à droite dure.
Notre président ne supplante pas, ne remplace pas, il succède simplement au petit précédent qui était encore plus agaçant tant il était agité.
Le Premier ministre lui, « précédent-compatible », remplace de façon aussi peu efficace quoique plus brutale le nabot de la mandature d’avant.
Un autre « plus petit géant du monde » remplace avantageusement un troisième qui, comme lui traitait les chômeurs de fainéants.
Je dis avantageusement parce qu’il a un visage plus avenant.
Sinon, 
pour le discours, c’est kif-kif.
Cette bande de nabots se la pète à vide genre « chuis un guerrier, un battant ».
Tout ça avec un manque de résultats lamentable.
Je me demande s’ils ne suent pas à coups de micros et de discours, la haine des trente centimètres qui leur manquent pour avoir la stature de John Wayne…
Et dire qu’ils sont censés être adultes !
Ils nous racontent les mêmes carabistouilles depuis des années.
Que dis-je, des décennies !
Nous sommes les seuls sur qui ils ont un peu de pouvoir alors qu’on les a élus pour nous protéger de ceux qui nous tordent le bras.
Eux-mêmes se couchent devant ceux dont ils devraient nous protéger.
En plus chacun veut être « seul en scène » et recommande à ses concurrents de se retirer.
Quand je les entends dire ça, je ne peux m’empêcher de penser que c’est leur père qui aurait dû se retirer…
Vous savez quoi ?
J’en ai marre de tous ces « faux forts » qui se vengent sur nous de ce qu’ils en ont pris plein le gueule à la récré.
Ils se vantent sans cesse de progrès invisibles si ce n'est inexistants.
Comme n’importe quel gamin serré à faire une ânerie, leur premier réflexe est de dire « C’est pas moi, c’est la conjoncture ! »
On veut bien le comprendre mais qu’on ne vienne pas nous l’expliquer avec hargne  en roulant de mécaniques qu’on n’a que grâce à l’habileté des tailleurs.
Encore moins en nous menaçant de foudres qu’eux-mêmes devraient encourir.
On devrait virer ces dangereux complexés avant qu’ils ne commettent des bévues irréparables.
Du coup je me demande bien pour qui voter à
considérer les modèles en présence.
Dites moi, lectrices chéries, comment choisir entre des inconscients, des complexés, des haineux, des incapables et des escrocs ?
Surtout sachant que le cumul est patent chez plusieurs d’entre eux…
Bref, j’aimerais des gens qui ne seraient probablement pas meilleurs mais au moins décontractés et ne me regarderaient pas méchamment pour avoir obtenu des résultats aussi maigres...
Ce qui me gêne le plus ?
Ce n’est pas qu'ils soient petits, non, c'est qu’en plus ils sont bas...

samedi, 18 avril 2015

On pêche petit et c'est très bien, on pèche grand et c'est tellement mieux…

Il me vient un truc, lectrices chéries, à voir le ciel et ses minces vagues de brume ce matin.
Et c’est Pennylane qui vit près d'un coin de mariniers qui me le rappelle.
On dirait un de ces matins où mon père m’emmenait à la pêche.
Je vous ai déjà parlé de Nadia ?  Une cousine de ma mère, plutôt de ma grand’mère ?
Vaguement Gitane ou Russe, on ne sait jamais dans cette famille maternelle que ma mère disait si gauloise.
Elle le fut, gauloise.
Dans l’autre sens, celui qui favorise les rapprochements inattendus.
Ces rapprochements qui rappellent qu’un Indochinois, à défaut d’entrer dans la famille entra dans une de mes aïeules
Cette Nadia, je m’en souviens surtout comme quelqu’un de brun, très brun, avec une voix un peu « roulante » et des yeux qui n’étaient pas comme ceux du reste de la famille, bruns, très bruns, mais plutôt brun-vert avec des paillettes d’or dedans quand il faisait beau.
Mon grand-père paternel était le seul qui n'était pas un pruneau et avait les yeux verts.
Je me souviens aussi de Nadia comme d’une femme pas jeune mais tout le monde était vieux quand j’étais petit. Sauf mes sœurs…
Chaque fois que je l’ai vue, elle était vêtue d’une veste de tricot de couleur prune et d'une blouse bleu-marine à petites fleurs blanches et mauves.
Elle nous interdisait d’aller traîner le long du canal et nous en dissuadait en nous disant « les noyés tirent les enfants qui passent trop près de l’eau par les pieds et les entraînent dans leur monde ».
Après un silence inquiétant elle ajoutait « c’est un monde affreux où tout le monde pleure et a mal… »
Mon père nous emmenait à la pêche avec lui, on était au bord de l’eau alors je savais bien que les noyés ne pouvaient pas me tirer par les pieds.
Au pire, si on tombait dans le canal, il n’y avait que des gardons et des goujons.
Oui, lectrices chéries, à l’époque il y avait encore des goujons dans le canal.
Et je savais que les poissons mangeaient des asticots, des vers de vase et des pâtés bizarres jetés par les pêcheurs, pas les enfants.
Je l’ai dit à Nadia. J’ai eu tort. Je ne l’ai su que plus tard mais elle détestait être contredite, surtout par des petits enfants. Pire, elle connaissait des histoires encore pires que les histoires de Berrichons, tous vaguement sorciers, que racontait ma grand’mère.
Elle s’est enfoncée dans le fauteuil de la grande pièce, m’a jeté un regard attentif, presque mauvais.
J’ai encore dans la cervelle ce moment. J’ai détourné les yeux, j’étais sûr que c’était une sorcière. Elle m’a dit « regarde moi quand je te parle, mon garçon ! »
Elle m’a raconté une histoire de bateau qui perdait sa cargaison chaque fois.
Le marinier –elle avait été marinière elle aussi, comme ma grand’mère et mon grand-père - était désespéré, non seulement il perdait ses cargaisons mais il était depuis toujours malade. Il a fait appel à un type qu’elle appelait « meneux de leu ».
Le type a fouillé le bateau et a trouvé au fond de la cale une bouteille contenant quelque chose. Elle n’a jamais su quoi sauf que c’était maléfique et que ça avait été mis là après la noyade d’un autre marinier.
Elle a continué l’histoire, disant « tu vois mon garçon ? Il a donné la bouteille à un verrier du côté du Gâtinais. »
J’écoutais de toutes mes oreilles.
« Trois fois la bouteille est ressortie du four ! A la fin, il a si vite fermé la porte que la bouteille est restée. »
J’ai dit « Et alors ? »
Elle m’a encore jeté ce regard et a dit « La coulée de verre a été perdue mon garçon ! Oui ! Perdue ! »
Je n’étais pas tranquille du tout. C’était pire que les histoires de ma grand’mère.
Elle m’a pris sur ses genoux et m’a assuré que « les noyés, c’est une sale engeance mon garçon, ça se venge, je le sais, j’ai passé toute ma vie sur un bateau, je n’ai jamais voulu apprendre à nager… »
Plus tard, j’ai appris que les noyés revenaient assez peu sur les berges autrement que ramassés par les pompiers, n’attrapaient pas les enfants et qu’un « meneux de leu » c’est « un meneur de loups », un truc de Berrichon.
Non mais quelle famille…

vendredi, 17 avril 2015

Sensibilisation à l’utilisation des caractères latins dans le but de communication entre organismes mammifères de caractéristiques biologiques humaines.

Autrement dit « Apprentissage de l’écriture »...
J’hésite entre le ludiverbisme involontaire  et le verbiage tout con.
Celui qui bouche le vide de la pensée avec des mots que l’on entasse, serrés au long de phrases interminables qui donnent l’illusion d’être Proust alors qu’on n’est que bavard.
Et là, vous avez affaire à un expert, lectrices chéries…
Je le dis avant que l’une d’entre vous me le jette à la figure.
J’en connais une que ça démange et comme je sais qu’elle ne peut pas se retenir d’envoyer des méchancetés, je lui gâche l’occasion.
Pour en revenir à ce verbiage, même une journaliste de France-Inter a ri ce matin à la dernière trouvaille des équipes de Najat Vallaud-Belkacem :
« Apprendre à se déplacer de façon autonome en milieu aquatique. »

Eh bien oui, lectrices chéries ! C’est ce qui remplace le mot « natation » à l’Education Nationale !

Déjà, mercredi, en rentrant à la maison, j’appris que le train ne part plus.
Qu’entendis-je ? Qu’ouïs-je ? Qu’entravai-je en empruntant la passerelle après être descendu du train ?
L’habituel «  Attention au départ du train. » ?
Que nenni ! De ces haut-parleurs qui me pourrissent la vie entre six heures du matin et minuit quand il y a des troubles de trafic est sortie cette merveille de la langue administrativo-politique dans ce qu’elle a de plus ligneux :
« Mesdames et messieurs les voyageurs, le train entre en procédure de départ ».
Oui lectrices chéries, la SNCF me cause comme ça désormais.
Je me demande si, au lieu d’envoyer les enfants à l’école, on ne devrait pas plutôt y renvoyer les grands –j’ai failli écrire « les adultes » optimiste béat que je suis-.
J’allais oublier cette perle ferroviaire quand la série continua hier matin avec une dame de l’Éducation Nationale est intervenue dans le débat sur la probable disparition de l’enseignement du latin et du grec.
Elle s’est inscrite en faux contre l’affirmation un professeur qui disait que ces deux langues disparaissaient insidieusement de l’enseignement alors qu’elles facilitaient l’apprentissage et l’acquisition des langues à commencer par le français.
N’importe qui s’étant tapé « ses humanités » vous dira que pour ce qui est de connaître la grammaire, ces sal…peries de déclinaisons sont incomparables. En outre, si vous apprenez l’allemand, le russe ou le grec moderne, ça vous sera utile.
Eh bien, la dame n’était pas d’accord.
Elle a insisté en disant « mais monsieur, je ne peux pas vous laisser dire ça, il y a désormais des « cours de sensibilisation aux cultures et langues antiques » tout de même ! »
Là, elle m’a assis.
D’abord parce que je ne voyais pas ce que pouvait être la « sensibilisation aux cultures et langues antiques » chez un enfant de sixième ou de quatrième déjà que chez eux, « antique » ça commence avec le professeur..
Et je me suis demandé quelles « langues antiques » autres que le latin et le grec on pouvait bien enseigner au lycée vu qu’on n’avait aucune chance d’y apprendre le sumérien ou le babylonien...
Bref, comme n’importe quel habitué des cabinets ministériels, cette brave dame maniait au moins une langue avec brio : La langue de bois.
En revanche il va lui falloir encore pas mal d’heure de cours avant de savoir nous prendre pour des andouilles sans être repérée dès la première phrase.
A part ça, lectrices chéries, vous ne trouvez pas qu’il y a des baffes qui se perdent ?